A_OCASIONNEL: Qui ne se produit que par hasard ou de temps en temps, de
manière irrégulière, accidentelle, épisodique, exceptionnelle, fortuite, inhabituelle,
intermittente.
.
B_ Dilettante = amateur,
personne qui pratique une activité sans s'y consacrer totalement.
C_PROFESSIONNEL=
Personne qui a fait d'une activité un métier (par opposition à l'amateur). :
expérimenté,
expert, qualifié, spécialiste, orfèvre en la matière, exercé, chevronné,
émérite, rompu, connaisseur, averti, compétent.
***
Nôtre vie se résume à un enchevêtrement
d’implications, de participations et d’activités à des degrés divers.
Il est donc important pour nous d’être à même
de faire la part des choses au sujet de notre niveau d’implication quotidienne
et sur la durée.
Notre temps est unique et non renouvelable ! Donc, ce que nous en faisons volontairement, par contrainte ou par soumission est une donnée
non négligeable. Que notre engagement soit occasionnel, en dilettante ou
professionnel !
Nous nous investissons personnellement
(physiquement, socialement, chronologiquement, financièrement, matériellement
et émotionnellement) chaque jour en temps limité dans des activités ou dans la
participation à des regroupements ludiques ou sérieux en dehors de notre temps
d’activité professionnelle.
Quel est le problème puisque tout le monde fait cela ?
Le problème c’est notre libre arbitre.
Pourquoi
lui ?
Parce que c’est nous qui CHOISISSONS.
Et alors, en quoi cela est-il un problème ?
Tout simplement parce qu’il y a une
différence entre faire un choix parce
que l’on s’y CROIT OBLIGE ( par des pressions extérieures à nous) et faire un
choix délibéré par intérêt, par calcul ou pour le plaisir, par vengeance, par
amour ou par haine, mais qui sont des motivations internes.
Celui qui agit et participe parce qu’il s’y croit obligé se prive du
choix délibéré de l’usage de son temps.
D’un autre côté celui qui ne peut pas accepter un choix contraint et imposé par une situation, une urgence ou une nécessité et qui s ‘y soustrait en faisant délibérément autre chose ou autrement, court le risque de subir les effets négatifs de sa fuite de responsabilité.
Bien souvent, pourtant, nous allons à contrecœur dans des endroits qui ne nous plaisent pas, rencontrer des personnes qui ne nous conviennent pas pour nous livrer à une activité qui ne nous enchante pas.
Par la suite nous rentrons chez nous frustré, agacé, irrité après avoir fait
faussement bonne figure dans notre lieu de supplice.
Qui nous a obligé à faire tout cela ? Nous a-t-on menacé ?
Nous a-t-on commandé ?
Nous y a-t-on trainé de force ?
Vous répondez NON à ces trois questions ! Qui est responsable de ce fatras
alors ?
PERSONNE à accuser, personne à condamner, pas
de bouc émissaire ni de souffre-douleur, sinon le miroir qui vous renvoie votre
propre image !
Un certain nombre de nos « obligations
sociales » sont générées par la peur du qu’en dira t-on ou le souci de
paraître, qui sont des motivations extérieures à nous, donc des
INFLUENCES !
C’est de l’auto manipulation, de l’auto chantage et de
l’auto restriction, tout simplement.
Pensez y, la prochaine fois, avant de vous calamistrer les cheveux et d’enfiler votre dernier costume pour sacrifier sur l’autel du BCBG au lieu de passer une soirée détendue, sympa, ludique ou créative, en vous faisant plaisir sans contrainte !
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