lundi 23 avril 2012

21_PENSEE SOURCE, PAROLE SOURCE (blogué le 23 04 12)



       
Pourquoi est-il si important de surveiller, contrôler et maîtriser vos mots autant que vos pensées ?
Une pensée est associée à des idées et un mot est associé à des paroles.
Une idée en entraîne une autre et devient une préoccupation  imagée et ressentie de notre esprit mental conscient .
Un mot s'intègre  à une phrase  qui en entraîne une autre  et occupe notre communication verbale volontaire consciente.
    Donc, on peut en conclure qu'une seule pensée est source d'innombrables idées découlées d'elle et associées entre elles et aussi à des ressentis.
    De même, un mot, prononcé est connecté à d'innombrables mots connectés entre eux et aussi à des croyances intégrées à nos concepts personnels.
Les « semblables » s'attirent, s'associent et se renforcent mutuellement par agglutination dans la durée et la répétition.
    Les paroles et les idées, tout comme les mots et les pensées ne font pas exception à cette règle commune.
    Une idée en entraîne une autre et une parole en entraîne une autre, toujours dans le même registre si l'on n'y prend pas garde par sa conscience vigilante.
    Lorsque nous sommes dans un registre positif, optimiste et constructif, notre vécu en est tonifié, tandis que notre maintien dans un registre pessimiste, négatif et destructif pénalise et déprécie notre vécu du moment avec des suites désagréables pour nous !
    Vos paroles font partie de votre comportement autant que de vos relations avec les autres, les situations et les événements.
    Dès que vous autorisez des idées négatives à perturber votre ressenti, elles envahissent aussitôt votre comportement, vos paroles et vos relations avec, la personne, l'événement ou la situation.
    L'aptitude développée par la pratique de la vigilance consciente quotidienne  nous facilite le contrôle de la parole qui formule  le ressenti déclenché par nos idées associées.
    Quoi que nous ayons le pouvoir et la faculté de nous concentrer sur une idée ou de méditer sur une pensée, ni l'une ni l'autre n'est en réalité séparée de nos associations de ressentis personnels.
    Ce qui établit notre unicité en ce monde c'est bien notre « ressenti personnel » qui donne pour nous à chaque mot, pensée, concept, croyance ou idée, notre connotation personnelle : cette petite « touche » qui fait que nous sommes « nous » et personne d'autre! Vive nous !


jeudi 19 avril 2012

20_L'HOMME, LE TABOURET ET LA TABLE (blogué le 19 04 12)


       
Et…4, 3, 2, 1, partez !
Un couple n'est pas une paire mais c'est la formule idéale pour manifester l'amour individuel  mutuel et réciproque, la compréhension, l'entente et la complicité, quand tout va bien. Mais c'est aussi la bonne formule pour manifester, le désaccord, la mésentente, la querelle et la haine mutuelle et réciproque quand tout va mal...
Un tabouret est solidement campé sur trois pattes identiques en longueur et de ce fait est stable confortable et sécuritaire. 
Vienne une patte à être plus courte que les deux autres, il devient alors un objet de rebut désagréable, instable et inconfortable; il est devenu bancal !
Une table a quatre pieds de longueur identique qui  la rendent stable, solide et pratique, d'un usage agréable et confortable. Vienne un seul pied à être raccourci ne serait-ce que de l'épaisseur d'une piège de monnaie et elle devient bancale et objet de rebut. Même si une cale peut la rendre provisoirement stable elle n'est plus sécuritaire ni fiable.
Pourquoi Jésus de Nazareth a-t-il dit à peu de choses près :
« Si trois d'entre vous se réunissent en mon nom et posent une demande, celle-ci sera exaucée... »
Pourquoi 3 et pas 2 ?
Comme nous l'avons vu à deux on est facilement d'accord, complice et en phase.
A trois les choses se compliquent énormément du fait que chacun des trois peut préférer celui-ci plutôt que celui-là et à tout moment créer une faille de désaccord et de désapprobation, d'opposition et de résistance dans le groupe. Ceci est tout à fait humain car notre petit égo a un fort penchant pour la comparaison et la jalousie, la suspicion et la méfiance toutes génératrices de discordes et de séparations !
Jésus a voulu nous indiquer par là que se réunir à trois était chose banale, somme toute, mais que se réunir « EN SON NOM », à trois, pour poser une « même demande » tenait déjà du miracle puisqu'il exaucerait cette demande sans délais !
Combien l’ont cru ? Combien ont essayé ? Combien ont été exaucés ?
Essayez de demander cela autour de vous à vos risques et périls !
Et…4, 3, 2, 1… et nous revoilà tout seul ou toute seule devant le chemin de la vie ! Seule? Seul ? Pas vraiment si nous croyons en lui ! En lui ou en un de ses alter égo, vu que nous sommes  encore en démocratie à ce niveau là.

lundi 16 avril 2012

19_CROYANCE, FOI, EGREGORE (blogué le 16 04 10)



« La foi soulève des montagnes... » A-t-il été dit. Mais personne n'en a jamais soulevée aucune.
Nos croyances et nos superstitions, autant que nos certitudes et nos doutes régissent alternativement nos vies sans pour autant en faire de longs fleuves tranquilles.
Et pourtant, nous réussissons à créer de puissants égrégores qui régissent bien des choses sur notre planète.

    Prenons le trio du top des égrégores qui dirigent ce monde en tirant chacun de son côté pour l'instant.
    Nous avons nommé : l'AMOUR, la HAINE et l'ARGENT ! Le troisième générant souvent le deuxième et détruisant régulièrement le premier en le mutant en deuxième ! Ceci pourrait nous amener à penser naturellement qu'en fin de compte c'est la haine qui animerait le monde humain.
         Chacun reçoit  dans sa vie selon ses croyances profondes et dominantes car elles alimentent les égrégores de sa vie.
    Si vous êtes intimement persuadé que l'argent est une chose sale, malsaine et diabolique, que vous vilipendez sans arrêt, alors que vous en avez absolument besoin pour vivre et faire vivre les vôtres en ce monde, vous travaillerez  certainement beaucoup pour de maigres revenus mais vous ne serez jamais riche.
    On affirme souvent que l'argent n'est pas la richesse, mais connaissez – vous des personnes riches ne possédant pas de revenus financiers… ?
    En somme, renier l'argent, le vouer aux gémonies, jeter sur lui l'anathème autant que le hisser à la hauteur d'une toute puissante divinité sont des actes de foi qui stérilisent notre vie ,tant  matérielle que financière !
      L'AMOUR a tous les pouvoirs : c'est certainement une parole de demi vérité,      car le mot amour est aussi flasque qu'imprécis et tout le monde en a à revendre sans pour autant avoir un quelconque pouvoir.
    Cela simplement parce que seul l'amour total, inconditionnel, donc sans espoir de retour, de compensation, de reconnaissance, de rétribution, de valorisation, de glorification  ou de  récompense a le pouvoir : c'est l'amour inconditionnel et désintéressé, quasiment désincarné ! 
Notre amour égotiste est par conséquent loin du compte quoi que nous en pensions...

    Dieu pardonne dix mille fois quand l'homme ne pêche que mille fois !
Et pourtant l'homme est pétri de haines diverses et variées, petites ou grandes, depuis le ventre de sa génitrice même si, en général,  elle lui voue un amour maternel, légitime et profond.
      LA HAINE est sans doute l'égrégore le plus puissant de la planète humaine car chaque jour, à chaque instant et jour après jour cet égrégore mondial est alimenté par des milliards de petites et de grandes haines  aussi monotones que répétitives tellement « naturelles et spontanées » que personne n'y prête plus attention dans sa vie quotidienne !
    Tout un chacun trouve « normal et légitime » d'entretenir, d'alimenter, de formuler et de propager ses haines sociales, ses haines religieuses, ses haines politiques, ses haines familiales, ses haines ethniques sans oublier ses sacro-saintes haines personnelles si parfaitement justifiées par l'incontournable :      
« OUI MAIS MOI C'EST PAS PAREIL ! »
    En fin de compte quel égrégore choisissez- vous d’alimenter à compter de ce jour ?
    Sachez bien qu’en continuant à alimenter les 3 ensemble votre goutte d’eau finira avec celles des autres par faire déborder le vase de la patience de l’Univers ! 
Je sais vous allez encore me dire en toute mauvaise foi :
 « Oui-mais-moi-c’est-pas-pareil !!!!! »

jeudi 12 avril 2012

18_ DECOUVRIR, APPRENDRE, UTILISER (blogué le 12 04 12)



               
« Je n’y comprends rien ! » traduction=  « ça va trop vite pour moi + je n’ai aucun repère… et pour cause l’inconnu reste inconnu ! »
« Je n’y arriverai jamais, c’est trop compliqué  pour moi !» traduction=évidemment, je suis mal informé, mal documenté, je suis pressé mais je ne me suis pas entraîné….
« C’est nul ce truc ! C’est galère ! On est vraiment obligé ? » traduction= je n’ai pas envie de faire le moindre effort ni gaspiller mon temps(si précieux) à découvrir, comprendre et apprendre…
Nous sommes ici confrontés à 3 éléments indissociables :
_la résistance du réel
_l’acceptation de l’effort personnel
_l’impatience du novice
    On n’a rien sans rien, donc on n’apprend rien sans efforts personnels.
On ne réussit pas sans mouiller sa chemise dans la répétition des  essais.
On n’apprend rien d’efficace  dans la hâte et la précipitation.
C’est le problème récurrent de l’ACCEPTATION. Tout simplement accepter le réel tel qu’il est sans filtrer notre réception par les préjugés, les rejets, l’impatience et la paresse.
    En fait, l’impatience entretient la paresse qui à son tour favorise l’impatience comme un serpent qui se mord la queue mais n’arrive pas à s’avaler lui-même. Cela tourne en boucle et constitue ce qui a été nommé jadis un « cercle vicieux » totalement inopérant. On s’impatiente pour ne rien faire et on ne fait rien pour ne pas avoir à s’impatienter. Cool !
Pendant ce temps, d’autres qui ne sont pas livrés à l’ivresse du cercle vicieux de l’inaction, passent régulièrement leur temps libre à faire  des efforts et des essais,  à expérimenter et à recommencer. Ils découvrent, ils apprennent, ils comprennent, ils s’entrainent, ils progressent  et s’approprient des connaissances efficaces  soudées à des compétences opérationnelles…  Ils UTILISENT leur temps libre constructivement, jour après jour !

    Pourtant nous avons l’outrecuidance et le toupet de leur en vouloir quand ils nous rattrapent, nous dépassent et nous larguent comme une fusée se débarrasse de son étage épuisé!
    En vérité tout le monde a du temps libre…si facile à gaspiller dans l’oisiveté ou les loisirs passifs, le bavardage stérile ou le dénigrement…pour le plaisir fallacieux d’être en compagnie de gueux comme nous !
    Dommage ! Chacun ou chacune  est le seul penseur, le seul acteur et le seul responsable de sa  propre vie,  pas de celle des autres ! Dieu merci !
_On prétend dans les provinces de Chine qu’un bon ouvrier, expérimenté et entraîné fait « du bon travail » même avec de mauvais outils ; tandis qu’un mauvais ouvrier, sans entraînement ni expérience, fait du  « mauvais travail » même avec d’excellents  outils. A méditer !
Découvrir, apprendre, comprendre et utiliser  sont les 4 pieds de la chaise de l'expérience constructive.
Beaucoup passent de 1 à 4 et perdent beaucoup de temps (en échecs) en croyant en gagner !

lundi 9 avril 2012

17_COSSU OU MENDIANT ? (blogué le09 04 12)




« Faites vos jeux mesdames-zé-messieurs, rien-ne-va-plus ! »

La rengaine bien connue des clients de casinos nous rappelle qu’à tout instant nous devons faire des choix et prendre des décisions : «  rouge ou  noir ? « pair ou impair ?». Quel casse-tête; pas le temps de réfléchir, alors on se fie au hasard, à sa chance, à sa baraka qui le plus souvent sont du côté du casino qui fait tout pour !
Résultat des courses le casino reste cossu et les clients restent mendiants !
« Il vaut mieux faire envie que pitié » dit le cossu qui tient à sauver la face.
    Ce à quoi le mendiant qui vit de la mauvaise conscience de ses concitoyens (on appelle ça la charité « sans compassion »), clame de sa voix claire :
« Il vaut mieux faire pitié qu’envie » (si l’on veut remplir sa sébile*).
*Petit vase de bois, rond et creux, pour recueillir les aumônes.*
    De même :
_ Si l’habit ne fait pas le moine il en donne pourtant bien l’apparence. Et ça peut suffire parfois…
_ Si l’argent ne fait pas le bonheur la pauvreté par contre ne le fait pas non plus ! Cela n’empêche personne de courir après l’argent, avec ses moyens et à son rythme !
_Il est vrai que qui se ressemble s’assemble ; sinon à quoi serviraient les beaux quartiers si on y trouvait des bidonvilles ?
Dans notre société on apprend très jeune qu’on ne mélange pas les torchons (à torcher) et les serviettes (à essuyer).
    Quelle que soit notre situation sociale, notre gagne- pain, notre adresse postale,(notre lieu de résidence), nous dictons aux autres leur comportement envers nous par notre attitude dominante en toute circonstance. Tout le monde se fie aux apparences : voir c’est déjà croire…
    Quelle image renvoyez- vous à ceux qui vous croisent, vous regardent ou vous fréquentent: « mendiant ou cossu » ???
    Soignez son apparence, sa tenue et son attitude ça paye !...Bien des personnes en ont fait la cuisante expérience en négligeant cet aspect de la vie !
Même si les apparences sont parfois trompeuses, on est généralement  jugé, jaugé,
étiqueté et classé à la première impression!
Il vaut parfois mieux être caméléon pour ne pas faire tâche là où nous voulons être admis. Pensez- y!

jeudi 5 avril 2012

16_L’APPETIT VIENT EN MANGEANT (blogué le 05 04 12)



Ceci se vérifie dans tous les domaines  du vécu. Les « élus » ne veulent plus lâcher l’os du pouvoir même à un âge avancé et le monde en paie les conséquences. Les séducteurs et les séductrices ont soif de séduire malgré leurs innombrables conquêtes et leur avancée en âge.
Désirs et appétits vont de pair naturellement. On dit bien « la soif » de pouvoir », qui  déshydrate le cœur et assèche l'esprit!
    En fait, toute personne désire le pouvoir dans un domaine ou dans un autre, sur une personne ou sur une autre dans  sa vie. Il s’agit du pouvoir sur quelque chose extérieure à soi.
    En réalité, toute personne exerce une multitude de petits  pouvoirs chaque jour sur son environnement familier.
    Le désir intérieur en  nous, éveille notre appétit pour des choses extérieures à nous. Les publicitaires, les politiciens  les pasteurs et les prêtres en savent quelque chose puisque c’est leur fonds de commerce !
En effet, ils stimulent en nous des désirs insatisfaits (une vie meilleure à venir… à venir  comme l’horizon qui est toujours à la même distance de nous) pour que nous en cherchions la satisfaction par le biais de leur intervention (stipulée incontournable…par eux). Cela a toujours fonctionné ainsi; mais ce n’est pas un argument valable pour continuer à laisser coloniser notre esprit par les « boni-menteurs ».
Nous satisfaisons chaque jour une multitude d’appétits justifiés ou justifiables autant qu’injustifiés ou injustifiables.
    Au départ, les besoins génèrent des désirs spécifiques qui ouvrent des appétits précis, satisfaits par une consommation ciblée.
« Je meurs de faim ! Je mangerais bien un sandwich au thon ! Tiens, je vais à la cafète m’offrir un sandwich au thon…Succulent ! » Mais rien ne m’empêche de le faire descendre avec de l’eau plate au lieu de m’auto-polluer avec une de ces délicieuses boissons à bulles si toxiques, quoi que nous en dise  les pubs manipulatrices!
    C’est là que nous avons toute la journée des « petits pouvoirs de choix » qui nous permettent de prendre des petites décisions personnelles en cascade, élargissant ainsi à peu de frais notre « petit espace personnel de liberté et de libre arbitre.
L’appétit vient en mangeant personnellement, certes, mais la liberté vient aussi en résistant chaque jour,  personnellement, par nos innombrables choix vigilants ! La liberté n’a pas droit aux vacances !
PS : l’addiction vient en consommant, d’où l’importance de pratiquer l’abstinence envers les produits toxiques légaux ou illégaux !
L'auto restriction volontaire et la pratique de l'abstinence alimentaire nous aident à garder le cap du libre arbitre en face de agressions publicitaires incessantes et incontournables !

lundi 2 avril 2012

15_ « SCIENCE SANS CONSCIENCE…(blogué le 02 04 12)



…n’est que ruine de l’âme »:
De quoi parlons -nous là ?
Bonne conscience, mauvaise conscience, sans conscience, conscience du bien et du mal… ? Pas vraiment, mais un peu de tout ça : il s’agit de la « conscience de soi » tout simplement. Conscience de soi, conscience de sa personne, conscience de ses émotions, conscience de ses pensées, conscience de ses paroles, conscience de son corps, conscience de ses tensions et crispations, conscience de sa respiration, conscience de ses attirances et de ses préférences, conscience de ses rejets et de ses répulsions !
    Une personne évanouie est « inconsciente », elle n’a plus conscience de rien, même pas de son corps, elle est coupée du monde et d’elle-même.
    Qui dit conscience dit sensation, ressenti, impression, réaction, par rapport à l’environnement perceptible visuel, auditif, olfactif, gustatif, tactile et cutané. La peau nous relie en permanence à notre environnement par le tactile, ce que nous touchons comme notre siège,la plate de ns pieds, le volant, le clavier, le verre en main et le cutané, ce qui nous touche comme la température de l’air ambiant, nos vêtements, etc.
    Souvent un malaise est provoqué par « une sensation » de vêtement trop serré ou trop lâche sans que nous ayons conscience de l’origine de notre gêne.
Un bruit inhabituel perçu puis oublié peut nous perturber sans que nous ayons conscience de son effet sur nous.
    Il en va de même, pour des odeurs, des couleurs, des courants d ’air, des voix, des musiques, du niveau sonore, des parfums, des remugles, des haleines plus ou moins fraîches, des odeurs corporelles…..
    PRENDRE CONSCIENCE de ce qui nous perturbe c’est déjà cibler la source de notre mal être du moment. 
Reste à adopter une solution pertinente pour nous soustraire à cette nuisance. La première action étant de signaler le dérangement à notre entourage. Son information, génère  sa compréhension et facilite son approbation.  Cela vous évitera déjà les : « Mais tu n’avais rien dit » ou « Tu n’avais qu’à le dire ! » ou encore « Il suffisait de demander ! ». Les gens sont toujours disposés à aider…

Pour la suite il faut tenir compte de la faisabilité des solutions envisagées pour en sélectionner une, quitte à en changer plus tard. Tout est modifiable et adaptable à un certain niveau !
Que vient faire la science là-dedans? LA Science a un rapport à la CONSCIENCE MORALE qui permet le respect de l'éthique (Science de la morale) ou la morale de la science qui en évite les débordements , surtout lucratifs et commerciaux sans vergogne (du latin verecundia =retenue, honte, pudeur).