Personne ne peut pardonner à votre place avant votre décès... Mais si vous partez avec votre énorme fardeau de griefs, vous aurez du mal à ascensionner vers les mondes supérieurs si vous y croyez... Si vous n’y croyez pas, ne changez rien !
_Et si le prédateur est décédé ? Cela n’annule en rien vos griefs si vous ne vous donnez pas la peine de lui pardonner verbalement volontairement afin de le libérer de vous et vous libérer de lui.
_Dans certaines traditions, on paye des pleureuses professionnelles pour “animer” par leurs pleurs , leurs cris, leurs plaintes et leurs lamentations, l’enterrement d’une
personne. Cela leur fait un petit pécule mais je doute fort que le défunt
en retire un quelconque bénéfice en dehors d’une bonne
migraine post mortem !
_Pour le pardon il n’y a qu’une chose qui marche: les mains dans le cambouis:
vous devez le faire vous-même, tu dois le faire toi-même, nous devons le faire nous-mêmes !
vous devez le faire vous-même, tu dois le faire toi-même, nous devons le faire nous-mêmes !
_Rien de mélodramatique ni de théâtrale dans la cérémonie sacrée du pardon: ni faste, ni bougie, ni encens ni invocation de quiconque!
Sauf si vous tenez à vous mettre sous la tutelle d’une de vos divinités préférées en pardonnant en son nom, ça peut aider à franchir le pas.
Donc, vous n’avez besoin d’aucun contact physique avec votre
prédateur : son nom suffit. Aucun témoin n’est nécessaire, car
vous formulez votre pardon avec vos mots , vos phrases et votre conscience.
C’est vous qui vous libérez de lui, c’est vous qui coupez le cordon de la haine,
c’est vous qui éteignez le brasier des griefs!
c’est vous qui éteignez le brasier des griefs!
Et pourtant, bizarrement; si vous avez été sincère avec vous-même, votre animosité s’évapore et vous libère du carcan de la haine. Et plus
surprenant encore, votre pardon finit par
surprenant encore, votre pardon finit par
atteindre votre prédateur... à plus ou moins long terme. Il faut donner du
temps au temps car si la pensée est rapide mais les carcans sont épais et
difficiles à perforer.
temps au temps car si la pensée est rapide mais les carcans sont épais et
difficiles à perforer.
N’allez surtout pas recommencer votre acte de pardon tous les deux ou trois
jours pour en rajouter une couche! Ce faisant vous affaibliriez considérablement les effets désirés...Contentez-vous d’utiliser cet autre pouvoir commun banal :
jours pour en rajouter une couche! Ce faisant vous affaibliriez considérablement les effets désirés...Contentez-vous d’utiliser cet autre pouvoir commun banal :
le pouvoir de bénir.
Peu importe votre religion ou vos croyances, vous avez le
pouvoir de bénir par la parole ou la pensée de bénédiction.
Il ne s’agit d’aller faire des signes kabbalistiques devant votre prédateur ou son domicile ou sur une photo de lui!
Bien sûr, que la pensée de votre prédateur va vous obséder et
que vos griefs vont se remettre à flamber puisqu’ils n’ont pas
été compensés ! C’est là le piège qui vous attend !
Que faire alors dans ce cas ? Pas de panique, vous pouvez gérer ça!
Le pouvoir de la bénédiction verbale vous autorise et vous
permet de bénir votre prédateur et tout ce qui va avec en
pensant consciencieusement ou en disant simplement:
“Je bénis un-tel!”
Ou si vous tenez à votre tutelle, ça peut aider:
Au nom de(...Votre Divinité....),
je bénis un-tel (ou une- telle, pour ne pas faire de sexisme!).
Et mon acte de pardon dans tout ça? Nous-y voilà.
Comme ce n’est pas une fête foraine, il vaut mieux vous isoler
de manière à n’être ni distrait, ni interrompu car il faut prendre son temps de nuit ou de jour.
Une fois confortablement installé (sauf si vous tenez à vous
mettre à genoux ou en position du lotus), ruminez bien tous les griefs
imputables à votre prédateur car vous les chassez de
imputables à votre prédateur car vous les chassez de
votre vie maintenant.
Cela fait vous pouvez dire à votre rythme quelque chose comme:
_ “Ici et maintenant moi, (votre nom complet) je pardonne à
(votre prédateur) tout le mal qu’il (elle) m’a fait dans le passé et je coupe définitivement le lien de haine qui me connectait à lui (elle). Ainsi, je me délivre de lui (elle) et je le (la) libère de moi.
Qu’il en soit ainsi désormais!” _
Et c’est fini!
Ps 1:
Vous pouvez toujours pardonner AU NOM DE... la divinité ou
l’être supérieur de votre choix.
Faites cela pour toute personne (établissez une liste écrite avec case à cocher)
que vous considérez comme un prédateur...
que vous considérez comme un prédateur...
Un acte de pardon par jour suffit, ce n’est pas une compétition!
***PS 2.
Bonne nouvelle! Le pardon ça marche dans les deux sens !
Vous, en tant que prédateur actif ou passif, vous pouvez
DEMANDER PARDON à chacune des victimes de votre ire.
_Remplacez Simplement je pardonne par je demande pardon et précisez pour tout le mal
que je lui ai fait...
que je lui ai fait...
La suite peut rester telle quelle si vous ne voulez pas l’adapter à votre manière...
*Bonne continuation sur ton chemin de vie, lecteur/lectrice!*
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