jeudi 29 mars 2012

14_PENULTIEME, ULTIME, DERNIER (blogué le 29 03)



          Eh oui, nous parlons toujours de l’impatience ravageuse. Nous avons rencontré la hâte et la précipitation du début qui nous pousse à agir à la va-vite, dans la confusion et l’incohérence pour aboutir à la déception de l’abandon prématuré.
Nous en avions conclu qu’il fallait mieux respecter la réalité incontournable du temps en nous soumettant à ses exigences.
Ici, nous traitons de l’impatience du denier moment, de cet instant ultime, de cette pénultième fraction de temps qui sépare l’abandon et l’échec de l’aboutissement et du succès ; tout comme la ligne intangible de l’horizon sépare le ciel de la mer !
    L’impatience du dernier moment c’est l’impatience de l’effort manquant, cet effort personnel incontournable sans lequel rien n’aboutit !
C’est le : « Bon ! J’en ai marre ! Je laisse tout tomber, c’est fini je n’y arriverai jamais ! »
Erreur fatale ! Conviction morbide ! Croyance désintégrante !
Rappelez- vous cette phrase merveilleuse dont je bénis l’auteur :
« Il faut beaucoup d’efforts perdus pour qu’un seul aboutisse ; ainsi, aucun effort n’est jamais perdu »
Rappelons que la première ampoule électrique est l’aboutissement de 999 essais infructueux pendant des années.
    On raconte que dans la jeunesse de l’Australie pétrolifère, un homme acheta une concession, y fora 99 puits en vain : pas une goutte de pétrole ! Dégouté il brada sa concession à un quidam qui fora le 100ème puits et devint un heureux concessionnaire d’une immense réserve de pétrole  qui fit sa fortune!
    La Vie récompense chaque effort car elle-même est un immense effort vers le changement, vers l’évolution.
    Notre libre arbitre nous laisse la liberté de reculer, de stagner ou d’avancer, ainsi la balle est toujours dans notre camp et c’est toujours à nous de jouer.
C’est nous qui disons si la partie est finie ou si nous jouons les prolongations pour gagner notre match !

lundi 26 mars 2012

13_TEMPS, EFFORTS, ORDRE (blogué:1/LE:26/03)





C’est ainsi le cas d’innombrables personnes qui utilisent une machine sans s’être données la peine de lire ou de lire complètement son mode d’emploi : 
_cela va de la cafetière électrique, à l’ordinateur, en passant par les logiciels ou les machines-outils, sans omettre les méthodes d’acquisition de compétences variées ! J’allais oublier la posologie des médicaments et leurs effets secondaires.
Demandez à un « trader » qui réussit s’il donne libre cours à son impatience pour changer ses choix et ses ordres au petit bonheur la chance : Non, lui, il sait attendre et reste paisiblement sur la brèche du marché pour guetter et saisir les bonnes opportunités de vente ou d’achats…ou d'abstention! il sait, il a appris!
Demandez à un actionnaire riche s’il se permet de s’impatienter en vendant ses actions à tire larigot : non, lui aussi il sait attendre tranquillement et suit la durée de ses plans de se placements…il sait, il a appris!
Demandez à un agriculteur s’il s’impatiente au point de récolter avant l’heure ses cultures presque mûres : non, lui il vit en respectant sereinement le temps des cycles et des saisons et moissonne en temps utile; il sait, il a appris!
Après tout, le temps n’est-il pas « un grand maître qui règle et simplifie toute chose » ? Savoir, connaitre,comprendre et assimiler ça PREND du TMPS!
A l’occasion, sachons « donner  du temps au temps » pour tenir en laisse notre impatience :…
_ « Commencer par le commencement », c’est toujours le plus pertinent.
_ « Ne pas zapper de phrases, ne pas zapper d’étapes », vous allez trainer ces trous toute votre vie comme des boulets.
_ « Aller jusqu’au bout de chaque étape » rester sur sa faim engendre la frustration et pousse à l’abandon.
« Terminer le programme, l’entreprise, le projet ou la formation ».
    Ce qui est bien fait est derrière vous  et c'est ACQUIS ! 
De plus, ce fait vous libère  et par dessus le marché,  vous satisfait et remonte votre estime de soi ainsi que votre motivation!
    Il existe un « ordre des choses » qui, ne nous en déplaise, doit être respecté pour éviter la confusion et le chaos dans notre vie et dans le monde.
    Cependant, l’impatience chronique, génère l’irritation permanente, les erreurs récurrentes, l’inattention systématique et une suite ininterrompue d’échecs en tous genres et dans tous les domaines du vécu quotidien. Elle est ainsi un « syndrome » le sommet de l’iceberg d’un profond mal être qu’il vaut mieux chercher à traiter…pour accepter le temps tel qu’il est : tout puissant !
             L'impatience est une des manifestation de la paresse intellectuelle, mère de l'ignorance générée par des connaissances, des savoirs et des compétences tronqués, incomplets et inachevés...
Prenons donc le temps qu'il faut, même en étapes successives jour après jour.
L’ami Kristoval*


jeudi 22 mars 2012

12_ IMPATIENCE, NEGLIGENCE ET TUTTI QUANTI blogué :blogué/1/le22 03 12




Il a été écrit :
 « L’impatience a chassé l’homme du Paradis et maintenant la négligence l’empêche d’y retourner. »
    En vérité, l’impatience, source inépuisable de conséquences négatives, devrait être inscrite au mémorial des  « 7 péchés capitaux » pour en être le huitième.
L’impatience, telle une réaction atomique en chaîne, est suivie par un cortège de mésaventures que nous ne lui attribuons pas consciemment malgré leur évidence.
    L’impatience génère automatiquement la négligence en nous faisant agir ou réagir avec une information, une préparation ou une formation incomplète, car anticipée et précipitée ce qui nous handicape dans l’instant.
    Cette précipitation génère à son tour, l’échec, la confusion et l’abandon. On gâche ainsi son temps de vie en voulant « gagner »  du temps. Beaucoup de fruits viables tombent d’un arbre à leur maturité et pas avant ; les cueillir prématurément ne les rend pas immédiatement consommables !
Combien d’âmes errantes rôdent dans notre environnement pour s’être impatientées au « feu rouge », au « STOP » au passage à niveau et ont perdu leur vie pour avoir voulu « gagner ou rattrapper  du temps » ! 
[Pour QUOI faire?]
    L’impatience réveille l’irritation qui à son tour exacerbe notre impatience en déclenchant notre fureur. Sous l’effet de la fureur notre bon sens s‘estompe et notre adrénaline nous pousse au passage à l’acte forcené.
Dans un embouteillage on se soulage en klaxonnant comme un dingue ou en braillant comme un malade.Ce qui nous décrispe sans pour autant nous valoriser ni changer la situation!
    L’impatience remonte peut-être au temps où tardait l’arrivée du sein ou de la tétine qui  nous permettait, enfin, d’assouvir notre faim dévorante et apaiser notre estomac souffreteux. Notre seul moyen de communiquer était alors de brailler comme un sourd en piquant une bonne crise de colère ; mais tout rentrait dans l’ordre après l’allaitement….suivi  (enfin !) du rot libérateur !
IMPATIENCE = « Incapacité d'attendre ou de supporter quelqu'un ou quelque chose » dit le dictionnaire .Il ajoute comme synonyme : « agacement ».
    Le réputé docteur BACH avait d’ailleurs baptisé un de ses élixirs floraux « Impatience », tant il avait compris l’étendue des ravages causés par cet état d’âme, de coeur ou d'esprit.
  En vérité, notre impatience caractérise notre relation avec le temps : l’attente,  la fréquence et les délais dans certaines conditions. 
    Dans certaines conditions dénombrables, puisque nous pouvons pousser des heures de queue pour accéder à l’entrée d’un spectacle choisi ou consacrer une journée à bricoler sur un meuble, ou à démonter et remonter une machine ou encore une chasse d’eau, ou encore une couture, jusqu’à satisfaction (incontournable).
    Nous avons tendance à donner quartier libre et libre  cours à notre impatience dès que nous prenons nos désirs pour des réalités et subissons de ce fait la violente frustration de l’évidente réalité qui nous "désobéit", nous déçoit, nous contredit, nous contrarie en s’opposant à nos vœux, ce qui nous met en colère!
    Comme toute « réaction » émotionnelle notre impatience nous envoie des signes avant-coureurs de sa manifestation et c’est à nous de les reconnaître et de lâcher prise en prenant une profonde respiration pour redevenir conscient et vigilant !""Laisse tomber !" ou "laisse béton" selon votre âge.
Beaucoup de gens mettent la charrue avant les bœufs ou au choix, la diligence devant les chevaux ou encore la charrette devant l’âne en voulant savoir  et/ou faire avant d’apprendre. 
    Ce comportement hâtif, paresseux, impatient et négligent est une perte de temps et une inépuisable source d’échecs et de déceptions car il refuse l’incontournable sacrifice de l'effort personnel soutenu, répété dans la durée.
Un corollaire de l'impatience c'est la procrastination reliée à la thésaurisation stéile.
A savoir : on accumule (documents, infos, formations, cures, outils et matos) SANS jamais PARVENIR à les UTILISER pour changer, s'améliorer ou avancer.
La patience est une VERTU, donc une Force. Une force ça se cultive et se développe. Ce n'est pas nécessairement inné ni acquis, ça ne va pas de soi!
Réflexe d'économie de temps désastreux, qui entraine des erreurs, des gaspillages, du gâchis et des échecs retentissants sans compter le temps ainsi « perdu »!
Apprendre, essayer, s’exercer, s’entrainer, répéter, recommencer pour comprendre et réussir, tout cela demande un temps consacré et réitéré aussi volontairement que consciencieusement.
"Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage !"
"La patience est amère  mais son fruit est doux!"



lundi 19 mars 2012

11_QUELLE PAGAILLE LA-DEDANS !


Sans pour autant être une poubelle,un égout, un rivage jonché de débris
         ou une décharge à ciel ouvert il y a un peu de tout ça dans un subconscient en jachère non « contrôlé  ,non  épuré  et non  rechargé » par notre « conscience vigilante  volontaire» ou notre « vigilance consciente volontaire».
    Lui, notre subconscient, qui travaille en toile de fond et à  bas bruit, s’y retrouve et ne rechigne pas à abattre la besogne qui lui est assignée par sa « base de données », combinées aux consignes de son stock de commandements, aboutissant aux « guidages multiples  autonomes » des squences de notre vécu quotidien  routinier.
Vous me direz que si lui il s’y retrouve et fonctionne à son gré, pourquoi s’en mêler ?
Justement « son gré » n’est pas nécessairement le nôtre _bon gré, mal gré_. N’oublions pas qu’il gère en particulier notre imagination, notre imaginaire, notre imagier de la vie, nos croyances et nos peurs qui vont souvent de pair et par  conséquent,  nos gestes réflexes et nos réactions habituelles!.
    Si nous nous mettons à raisonner pour nous faire entendre « raison », peut lui en chaut car lui ne gère pas la raison et n’y est pas accessible autant que la raison  sans prise sur lui, n’a aucune chance de l’influencer.
Il est logique mais pas raisonnable, tout en étant modifiable et influençable par la répétition volontaire au long terme verbale et gestuelle, au long terme !

Si vous avez peur de la situation, de l’action ou de la relation il fera tout pour vous mettre en sécurité en vous engageant à vous tenir à distance de ce danger potentiel même s’il est pour vous d’une importance vitale. 
Et c’est ainsi que, soulagé malgré tout, vous ratez, un rendez-vous capital, vous mettez fin à un contact fondamental ou vous abandonnez une entreprise fort constructive !
    On peut dire qu’il gère la timidité, le trac, la honte, la gêne, la culpabilité, tous ces petits travers désastreux qui font la fortune des vendeurs de méthodes de développent personnel et que nous accumulons sans obtenir de changement pertinent ni dans notre personne ni dans notre vie.
    Vous n’êtes pas né/e d’hier et ni Paris ni Rome ne se sont construites en un seul jours ni en plusieurs centaines de jours non plus.
    Autrement dit: le principal n’est pas de commencer ni de commencer en s’attendant à s’en sortir en 21 jours. Le plus long voyage commence par un pas, mais tout le monde peut faire un seul pas  ça ne n le mène nulle part ! On dit que l’enfer est pavé de bonnes intentions mais j’ajouterai aussi de bonnes résolutions abandonnées à leur naissance !
    L’échec, c’est ce que nous redoutons, : mais un échec est un fait (avec certaines conséquences blessantes négatives ou exclusives il est vrai).
Mais un échec reste un « fait isolé » ; ce n’est pas une condamnation, ce n’est pas un anathème jeté sur le reste de votre vie, quoique vous ressentiez à ce moment-là!   Dur dur l'éo blessé !
C’est VOUS qui recevez « l’événement–échec » comme un coup de boutoir dans votre vie ou comme un épisode à « traverser » pour continuer sa vie en passant à autre chose, car les opportunités sont nombreuses et variées dès lors que l’on ait lâché prise sur l’échec passé !
    Il n’est pas bon de mettre tous ses œufs dans le même panier , il vaut mieux avoir des paniers variés, afin de pouvoir passer de l'un à l'autre en cas de casse!
T out ceci pour dire qu’il nous reste toujours une « cartouche à tirer ailleurs et autrement ».
Si vous chutez sur un sol glissant , vous n'allez pas vous y incruster .Vous vous déplacerez pour retrouver la stabilité en sécurité.
    L’échec réel , ce n'est pas le fait de ne pas avoir abouti ou réussi; c’est l’abandon,c'est  le laisser tomber, c'est se mésestimer pour  ne pas continuer, ne pas en apprendre et rester dans le flou, l’incertitude et l’ignorance, tous, générateurs et renforçateurs des craintes et des obsessions.
« TOUT VA BIEN ! » est une phrase passe-partout mais une aide puissante dans la détresse quand elle est répétée tranquillement, jusqu’à ce qu’on en soit convaincu et que notre esprit subconscient l’accepte comme une vérité et le mette en œuvre !Cela remet de l’ordre dans la pagaille !
En fait! la pagaille (émotionnelle, mentale et physique) c'et une tempête dans un verre d'eau! Une fois le verre vidé, tout est réparé et prêt à fonctionner!
Bonne route!



jeudi 15 mars 2012

10_TRAVAILLEUR SILENCIEUX,PERMANENT , INFATIGUABLE

Vous avez un travailleur inaltérable EN PERMANECE à votre disposition qui enregistre tout ce que vous percevez, tout ce que vous ressentez, tout ce que vous faites et surtout tout ce que vous dites.
Il s’agit de votre bonhomme de subconscient qui n’est ni fidèle ni loyal mais IMPLACABLE et DÉTERMINÉ dans son fonctionnement !
Il est implacable car il est un peu comme une machine : il ne connaît ni la plaisanterie, ni la simulation, ni le mensonge, ni le bien ni le mal : son truc à lui c’est la VÉRITÉ.
Et c’est là que se situe le nœud et que se pose le problème !
Pour lui,  TOUT est vérité ! Particulièrement TOUT CE VOUS DITES ou tout ce que l’on vous dit et que vous acceptez et ressentez comme parole de vérité.
    Chaque information est ainsi reçue sans jugement et intégrée à un organe , une fonction, un fluide ou un système de notre corps physique créant instantanément des associations d’idées-émotions-convictions-réactions qui nous « aident » à percevoir la vie de façon spécifique, afin de choisir-décider et agir à notre guise. 
Agir à notre guise étant ce que nous « croyons » faire !
    En réalité notre subconscient riche des milliards de perceptions, de sensations , de paroles, d’actions et d’expériences enregistrées et intégrées depuis au moins notre naissance, manipule la barre de notre navire à coup d’impulsions irrésistibles correspondant à nos pensées dominantes habituelles travaillant continuellement en toile de fond.
    Ces pensées dominantes peuvent se répartir en deux tendances diamétralement opposées comme le chaud ou le froid, le haut ou le bas , le bien ou le mal, la bienveillance ou la malveillance, l’amour ou la haine la colère ou la sérénité, la jalousie ou la gratitude, la santé ou la maladie, l’abondance ou la restriction etc…etc…
    LUI, notre subconscient ne choisit pas ! C’est un exécutant servile ! En tant qu’exécutant servile dénué de compréhension mais pas de puissance ni de pouvoir, il nous SUIT pas à pas, à tout instant, en tout lieu et en toute circonstance! Ce qui nous rend TOTALEMENT RESPONSABLE de l’état de notre vie…
    Si notre tendance générale de pensées (comme de ressenti) est négative, elle se manifeste par le ressassement de sempiternelles paroles dévastatrices :.plaintes,
récriminations, critiques destructives, jugements ravageurs. 
Nous passons ainsi nos journées à semer des paroles venimeuses de plaintes, de critiques, de récriminations, de jérémiades, de médisances ou de calomnies et tout et autre !
"Qui sème le vent récolte la tempête"  est-il écrit!
    Cela emmagasine autant de venin que notre subconscient, fidèle à notre ligne de conduite, va instiller dans notre vécu, en s’attaquant à tout ce qui serait « bon pour nous » mais sur lequel nous avons jeté l’anathème qui l’exclut de note vie quotidienne
A bon entendeur salut : votre subconscient vous rend la nourriture avec laquelle vous le gavez chaque jour que Dieu fait !     
Filtrez ! 
    Soyez conscient de vos ressentis émotionnels pernicieux : honte, gêne, malaise, insécurité, infériorité, culpabilité, dépendance, soumission,  irritation, agacement...
    Sachant que vos "ressentis" étant strictement personnels, nul ne peut vous contraindre, vous forcer ou vous amener malicieusement à les mettre  en mots pour les formuler, les exprimer,les communiquer et les semer en fin de compte pour propager du négatif qui vous reviendra à coup, sur tôt ou tard !


9_ NE FAIS PAS À AUTRUI …..

Ce que tu ne veux pas ou n’aurais pas voulu que l’on te fasse !
Ok ! D’ACCORD ! Oui, mais…
    A aucun moment, même s’il a été dit de « tendre la joue gauche », autrui n’est ni autorisé ni habilité à te faire à toi ce qu’il ne voudrait pas qu’on lui fasse à lui….ni en parole, ni en action. Il n’est question nulle part de se laisser faire sans broncher.
Première chose : « Qui ne dit mot consent. »
Donc il faut DIRE ! Dire pour informer autrui que nous ne sommes pas consentants et que nous constatons et condamnons son comportement, son langage ou sa conduite envers nous, en le lui décrivant avec les conséquences négatives qui en découlent pour nous. 
    Dire la parole de vérité qui démontre ce qui est, suffit à faire prendre conscience de la situation et amener un changement.

    _ Dire, en privé, puis devant témoin et même en public « les faits », a pour objectif « d’appeler un chat un chat » ou « d’appeler un chien un chien ».
_ « Je n’aime pas trop ça….ce que vous me dites, ce que vous me faites ou ce que vous m’avez dit ou fait ». Autrui est « informé ».
    _Je ne suis pas d’accord avec vous sur ce coup- là.
    -Je n’approuve pas du tout votre comportement dans de pareilles circonstances.
    Chacun a son libre arbitre, sa conscience et son sens moral auxquels il n’est pas vain de faire appel à l’occasion.
    Ainsi, une personne avertie en vaut deux et la persévérance dans la nuisance de votre entourage, n’est pas un signe de niveau de conscience élevé ni de profonde compréhension, ni l'expression de la moidre compassion.
    C’est nettement plus constructif que de se mettre à hurler, à s’injurier, en venir aux mains, à la haine irréversible et à la magie noire qui en découle spontanément. *
    La magie noire consistant ici,  à poser et à maintenir posées des pensées, des idées de rage, des désirs furieux de vengeance tout en répandant des fleuves de calomnies contre une personne, un groupe,une religion ou un parti politique...
     Donc pour rester dans l'équilibre fragile de la paix, l'harmonie et la convivialité du vivre ensemble sans être d'accord sur tout, n'offensez pas autrui mais ne laissez pas autrui vous offenser non plus sans réagir avec calme et fermeté.*
    Reconnaître ses torts quand on a tort ou quand on est en tort, sans se rabaisser, est la meilleure huile des rouages de la société!

jeudi 8 mars 2012

8_...COMME JE VOUS AI AIMES …



 « Aimez-vous les uns les autres » _ COMME je vous ai aimés !
Voilà un éclairage qui rend encore plus pointu : « Aime ton prochain comme toi-même ! »…et que se passera-t-il alors si cela se produit un jour?

Eh bien mon frère, ma sœur, ce sera  ça « le Royaume de Dieu sur terre ». Vous comprenez maintenant pourquoi il tarde tant et tant à venir depuis plus de 21 siècles !
D’abord le plus simple : aimer. Aimer c’est en gros vouloir et faire le meilleur pour…
    S’aimer soi-même, c’est donc faire et vouloir le meilleur pour soi-même !
_ Le faisons-nous, malgré les trésors d’égoïsme que nous déployons chaque jour ?
_ Voulons-nous et faisons-nous le meilleur par nous-mêmes, pour nous-mêmes, à chaque instant, en toute circonstance et dans tous les domaines de notre vie ? 
A vérifier…Sachant  que nous sommes la personne la plus proche de nous-même dont nous sommes indissociable!
    Dans ce cas, aimons-nous notre prochain ? Voulons-nous, disons-nous et faisons- nous le meilleur pour lui, l’autre, notre semblable, notre prochain, notre parent, notre voisin, notre collègue, notre conjoint, notre enfant, notre ami, cet étranger, cet inconnu, ce familier ???
    Vous noterez au passage que dans notre prochain, nos « familiers » ou nos proches, sont souvent nos exutoires et nos souffre-douleurs pour les miettes éparses de compassion, d’attention active, d’intérêt positif, de reconnaissance spontanée, de gratitude et d’amour dont nous les gratifions chaque jour.
_ Aimer ce n’est pas flatter : ceci limite notre panel de communication conviviale.
_ Aimer ce n’est pas mentir : ce qui restreint notablement nos sujets de conversation.
_ Aimer ce n’est ni dénigrer l’un pour plaire à l’autre, ni écouter ou encourager le dénigrement de l’un par l’autre : là, cela nous contraint à rester bouche cousue et oreilles bouchées. Ce qui vous l’admettez rend toute communication verbale quasiment impossible.
__ Aimer c’est dire  avec respect, courage, audace, détermination et persévérance « des paroles de vérité » qui ne vous font pas que des amis parmi des gens qui n’en étaient déjà que des faux ! 
Pourquoi ?
Par ce que « la parole de vérité » peut offenser, peut heurter, peut contrarier peut, voire même, blesser (dans la sensibilité de leur amour-propre, de leur égo massif ou de leur naïveté bornée) ceux, tous ceux, qui ne regardent pas la réalité en face et ne sont pas sincères avec eux-mêmes !
    Ils se regardent et regardent la vie et leur prochain au travers du filtre de leurs pensées et émotions négatives, de leurs peurs, de leurs craintes de leur conviction erronée de l’existence du mal en dehors d’eux-mêmes et à l’extérieur d’eux-mêmes !
Pourquoi feraient-ils l’effort de se taire au lieu de critiquer, geindre, se plaindre et déblatérer?
Pourquoi feraient-ils l’effort de se remettre en question pour remonter jusqu’à eux-mêmes dans tous leurs malheurs, leurs déceptions et leurs problèmes ?
Qu’ont-ils FAIT ?
_ Ont-ils donné un peu de leur présence active, de leur temps d’écoute constructive, hormis le temps gaspillé à, dénigrer, ou écouter dénigrer ou aider à leur prochain, à se plaindre, se justifier et récriminer ?
_ Ont-ils donné un sourire qui ne s’arrêtait pas à montrer ses dents et qui envoyait au destinataire, bienveillance, paix et courage ?
_ En vérité pourquoi feraient-ils le moindre effort pour changer de comportement, de croyance et de communication ? Ils ne se sentent pas en cause dans les malheurs du monde, de leur monde, de leur vie !
Le royaume de Dieu a encore du souci à se faire  sur Terre, même si la patience de Dieu est inlassable et infinie, il ne sera certainement pas de notre monde ces jours-ci ! Donc, cultivons-le en nous-mêmes !


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lundi 5 mars 2012

7_AFFIRMATIONS, DECLARATIONS, REALITE ET VERITES







Beaucoup d’affirmations se font chaque jour en dépit du bon sens et au détriment de la réalité !
    Ecrites dans la presse ou orales sur les médias, affirmations sans preuves déclarations fallacieuses ou citations tronquées, fleurissent et se répandent sans vergogne pour endormir une population déjà en catalepsie psychique et mentale. qui s'empresse, à son tour de propager fièrement  le poison de bouche à oreille!
En réalité chacun a SA vérité qui n’est pas forcément celle de ses amis, voire celle de ses ennemis ou adversaires. 
 Chacun étant censé être sincère avec lui-même sinon avec les autres, l’imbroglio devient indémellable.
    On se forme une « opinion » d’après son »jugement » pour « postuler » SA vérité en fonction du ressenti de son vécu, sinon selon des avis adoptés ou imposés ! ( à relire lentement )
Affirmations, déclarations, et autres arguments ostentatoires sont souvent des « outils » de manipulation politico-commerciale ; la politique consistant en un mot, à défendre les « intérêts » matériels, financiers et sociaux de ses partisans sous couvert de vouloir le bien de tous, tout en convoitant les biens de chacun !
Les affirmations doctes et gratuites sans fondement ni références sont la végétation qui pousse dans le terreau médiatique hypnotqiue quotidien  des JT (journaux d'informations télmévisés).
Un mensonge (ou une contrevérité) repris et répété à longueur d'émissions, finit par être "enregisté" et classé dans notre esprit comme un "fait" sans discussion!
En fait, la vérité et la réalité n’ont besoin de personne pour se manifester et n’ont nul besoin d’être interprétées par des exégètes autoproclamés !
La parole de vérité se suffit à elle-même et est aussi tranchante qu’un rasoir dans les esprits pervertis qui comme le miel onctueux, n'en gardent aucune trace !
    Le dressage sociétale consistant à ingurgiter sa "dose quotidienne " d'informations (négatives) uniformes permet à tout un chacun d' être au jus ou au courant afin d'aider à la propagation du malaise commun préfabriqué.
A Rome on donnait au peuple du pain et des jeux pour l'occuper; nous on nous donne les JT, le Foot, le Loto et les ragots !
Ceci dit, personne ne nous "oblige" mais il nous faut hurler avec les loups, même si:"l'homme est un loup pour l'homme!