3) _ Il est écrit
quelque part : « L’Esprit Saint souffle où il veut ! »
Ce qui
signifierait en clair que nous n’aurions
aucun pouvoir sur lui, ne serait-ce que pour l’attirer dans notre vie. Vous
avouerez que c’est dommage et dommageable. Cela signifie aussi que, en général,
il laisse le champ libre à « l’esprit
démoniaque » qui a pour mission divine permanente de cerner notre esprit pour le
maintenir dans la confusion du bien et du mal (au détriment du bien véritable
évidemment !) afin de nous priver de notre libre-arbitre intégré par notre créateur qui compte sur nous pour
nous en servir…
Syntoniser avec « l’esprit saint »c’est régler notre fréquence
vibratoire, mentale, émotionnelle, verbale et intellectuelle pour la faire coïncider avec
la sienne afin d’entrer en résonnance avec ses vibrations à
lui : « le beau, le bien et le bon » en toute chose, toute
pensée, toute parole, toute vibration et
en tout ressenti.
Même s’il
« souffle où il veut « », la
loi est que « les semblables s’attirent » ;
et en syntonisant avec ses vibrations
nous l’attirerons dans nos vies.
Cela
d’autant plus que la majorité pensante syntonise avec les vibrations de l’adversaire, « l’esprit
démoniaque : le disharmonieux, la souffrance et l’exécrable, mais
maquillés, déguisés et travestis en faux -bon, en faux- beau et en faux-
bien qui se résument en un seul mot, l’ILLUSION !
Or, de l’illusion découlent la déception, le désespoir, le désarroi et la
souffrance…
Le tentateur exacerbe nos sens pour attiser nos
appétits et enflammer nos passions dans l’unique
but de nous isoler de notre
libre-arbitre et de nous détourner de l’esprit
saint en nous faisant quasiment « perdre la tête ! ».
_En réalité il n’y a pas
d’affrontement entre le TENTATEUR et l’INSPIRATEUR. Car le Tentateur
nous cerne en permanence et nous avons
tendance à syntoniser avec lu ; l’inspirateur,
lui, est attiré par nous uniquement quand nous nous
tournons vers lui en élevant nos
vibrations vers la fréquence des siennes pour syntoniser avec lui ! Ceci
n’est cependant pas si fréquent !_
Ce faisant,
nous nous coupons provisoirement du tentateur, le temps d’une communion avec l’inspirateur. Mais le
tentateur revient bientôt à la charge pour cerner encore et toujours notre esprit pour l’asservir à son but qui est de nous
corrompre.
4)
_ Le tentateur génère, alimente et justifie les peurs innombrables, les haines
impitoyables ainsi que les paroles
et les actes exécrables, sources
inépuisables de souffrance sans consolation. La peur de perdre et la peur de manquer
sont parmi ses outils favoris de manipulation/séduction, assortis au besoin de posséder et d’avoir! La « comparaison morbide systématique, source inépuisable de mésestime
de soi, d’envie et de jalousie cause des souffrances quotidiennes à celui ou
celle qui en est affecté(e).
La luxure, l’entêtement dans le "sexe -à -tout -prix" et sous toutes ses formes morbides, sans échange sincère ni partage affectueux,
y compris la pornophilie, avilit la sexualité humaine au niveau de la fornication démoniaque, à un
rang dégradant, ignoré même par le monde animal qui se reproduit, lui.
L’inspirateur, quand il interfère avec nous, élève nos pensées, nos paroles, nos
sentiments, nos choix, nos décisions et nos actions vers le bénéfique pour
tous, le favorable pour tous, l’agréable
pour tous, sans tout ramener au confort de notre petite personne !
L’amour n’est pas inspiré par l’égoïsme. La générosité n’est pas
inspirée par le nombrilisme.
La fraternité n’est pas inspirée par l’intérêt
personnel.
Le partage n’est pas inspiré par le profit-
exorbitant- à -tout prix : la
sacro-sainte marge !
L’entraide n’est pas inspirée par la
manipulation, le mensonge ou la duperie.
Le tentateur nous pousse, nous incite et nous
excite à MURMURER, c’est à dire:
_à nous plaindre sans choisir ni réagir ;
_à critiquer sans intention d’aider ni
d’améliorer ;
_à récriminer sans nous engager ni nous
poser ou nous opposer;
_à juger et à condamner sans nous informer
ni chercher à comprendre ;
_à hurler avec les loups en laissant
dévorer des agneaux que nous savons innocents.
à suivre n° 5&6
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