lundi 2 avril 2012

15_ « SCIENCE SANS CONSCIENCE…(blogué le 02 04 12)



…n’est que ruine de l’âme »:
De quoi parlons -nous là ?
Bonne conscience, mauvaise conscience, sans conscience, conscience du bien et du mal… ? Pas vraiment, mais un peu de tout ça : il s’agit de la « conscience de soi » tout simplement. Conscience de soi, conscience de sa personne, conscience de ses émotions, conscience de ses pensées, conscience de ses paroles, conscience de son corps, conscience de ses tensions et crispations, conscience de sa respiration, conscience de ses attirances et de ses préférences, conscience de ses rejets et de ses répulsions !
    Une personne évanouie est « inconsciente », elle n’a plus conscience de rien, même pas de son corps, elle est coupée du monde et d’elle-même.
    Qui dit conscience dit sensation, ressenti, impression, réaction, par rapport à l’environnement perceptible visuel, auditif, olfactif, gustatif, tactile et cutané. La peau nous relie en permanence à notre environnement par le tactile, ce que nous touchons comme notre siège,la plate de ns pieds, le volant, le clavier, le verre en main et le cutané, ce qui nous touche comme la température de l’air ambiant, nos vêtements, etc.
    Souvent un malaise est provoqué par « une sensation » de vêtement trop serré ou trop lâche sans que nous ayons conscience de l’origine de notre gêne.
Un bruit inhabituel perçu puis oublié peut nous perturber sans que nous ayons conscience de son effet sur nous.
    Il en va de même, pour des odeurs, des couleurs, des courants d ’air, des voix, des musiques, du niveau sonore, des parfums, des remugles, des haleines plus ou moins fraîches, des odeurs corporelles…..
    PRENDRE CONSCIENCE de ce qui nous perturbe c’est déjà cibler la source de notre mal être du moment. 
Reste à adopter une solution pertinente pour nous soustraire à cette nuisance. La première action étant de signaler le dérangement à notre entourage. Son information, génère  sa compréhension et facilite son approbation.  Cela vous évitera déjà les : « Mais tu n’avais rien dit » ou « Tu n’avais qu’à le dire ! » ou encore « Il suffisait de demander ! ». Les gens sont toujours disposés à aider…

Pour la suite il faut tenir compte de la faisabilité des solutions envisagées pour en sélectionner une, quitte à en changer plus tard. Tout est modifiable et adaptable à un certain niveau !
Que vient faire la science là-dedans? LA Science a un rapport à la CONSCIENCE MORALE qui permet le respect de l'éthique (Science de la morale) ou la morale de la science qui en évite les débordements , surtout lucratifs et commerciaux sans vergogne (du latin verecundia =retenue, honte, pudeur).

jeudi 29 mars 2012

14_PENULTIEME, ULTIME, DERNIER (blogué le 29 03)



          Eh oui, nous parlons toujours de l’impatience ravageuse. Nous avons rencontré la hâte et la précipitation du début qui nous pousse à agir à la va-vite, dans la confusion et l’incohérence pour aboutir à la déception de l’abandon prématuré.
Nous en avions conclu qu’il fallait mieux respecter la réalité incontournable du temps en nous soumettant à ses exigences.
Ici, nous traitons de l’impatience du denier moment, de cet instant ultime, de cette pénultième fraction de temps qui sépare l’abandon et l’échec de l’aboutissement et du succès ; tout comme la ligne intangible de l’horizon sépare le ciel de la mer !
    L’impatience du dernier moment c’est l’impatience de l’effort manquant, cet effort personnel incontournable sans lequel rien n’aboutit !
C’est le : « Bon ! J’en ai marre ! Je laisse tout tomber, c’est fini je n’y arriverai jamais ! »
Erreur fatale ! Conviction morbide ! Croyance désintégrante !
Rappelez- vous cette phrase merveilleuse dont je bénis l’auteur :
« Il faut beaucoup d’efforts perdus pour qu’un seul aboutisse ; ainsi, aucun effort n’est jamais perdu »
Rappelons que la première ampoule électrique est l’aboutissement de 999 essais infructueux pendant des années.
    On raconte que dans la jeunesse de l’Australie pétrolifère, un homme acheta une concession, y fora 99 puits en vain : pas une goutte de pétrole ! Dégouté il brada sa concession à un quidam qui fora le 100ème puits et devint un heureux concessionnaire d’une immense réserve de pétrole  qui fit sa fortune!
    La Vie récompense chaque effort car elle-même est un immense effort vers le changement, vers l’évolution.
    Notre libre arbitre nous laisse la liberté de reculer, de stagner ou d’avancer, ainsi la balle est toujours dans notre camp et c’est toujours à nous de jouer.
C’est nous qui disons si la partie est finie ou si nous jouons les prolongations pour gagner notre match !

lundi 26 mars 2012

13_TEMPS, EFFORTS, ORDRE (blogué:1/LE:26/03)





C’est ainsi le cas d’innombrables personnes qui utilisent une machine sans s’être données la peine de lire ou de lire complètement son mode d’emploi : 
_cela va de la cafetière électrique, à l’ordinateur, en passant par les logiciels ou les machines-outils, sans omettre les méthodes d’acquisition de compétences variées ! J’allais oublier la posologie des médicaments et leurs effets secondaires.
Demandez à un « trader » qui réussit s’il donne libre cours à son impatience pour changer ses choix et ses ordres au petit bonheur la chance : Non, lui, il sait attendre et reste paisiblement sur la brèche du marché pour guetter et saisir les bonnes opportunités de vente ou d’achats…ou d'abstention! il sait, il a appris!
Demandez à un actionnaire riche s’il se permet de s’impatienter en vendant ses actions à tire larigot : non, lui aussi il sait attendre tranquillement et suit la durée de ses plans de se placements…il sait, il a appris!
Demandez à un agriculteur s’il s’impatiente au point de récolter avant l’heure ses cultures presque mûres : non, lui il vit en respectant sereinement le temps des cycles et des saisons et moissonne en temps utile; il sait, il a appris!
Après tout, le temps n’est-il pas « un grand maître qui règle et simplifie toute chose » ? Savoir, connaitre,comprendre et assimiler ça PREND du TMPS!
A l’occasion, sachons « donner  du temps au temps » pour tenir en laisse notre impatience :…
_ « Commencer par le commencement », c’est toujours le plus pertinent.
_ « Ne pas zapper de phrases, ne pas zapper d’étapes », vous allez trainer ces trous toute votre vie comme des boulets.
_ « Aller jusqu’au bout de chaque étape » rester sur sa faim engendre la frustration et pousse à l’abandon.
« Terminer le programme, l’entreprise, le projet ou la formation ».
    Ce qui est bien fait est derrière vous  et c'est ACQUIS ! 
De plus, ce fait vous libère  et par dessus le marché,  vous satisfait et remonte votre estime de soi ainsi que votre motivation!
    Il existe un « ordre des choses » qui, ne nous en déplaise, doit être respecté pour éviter la confusion et le chaos dans notre vie et dans le monde.
    Cependant, l’impatience chronique, génère l’irritation permanente, les erreurs récurrentes, l’inattention systématique et une suite ininterrompue d’échecs en tous genres et dans tous les domaines du vécu quotidien. Elle est ainsi un « syndrome » le sommet de l’iceberg d’un profond mal être qu’il vaut mieux chercher à traiter…pour accepter le temps tel qu’il est : tout puissant !
             L'impatience est une des manifestation de la paresse intellectuelle, mère de l'ignorance générée par des connaissances, des savoirs et des compétences tronqués, incomplets et inachevés...
Prenons donc le temps qu'il faut, même en étapes successives jour après jour.
L’ami Kristoval*


jeudi 22 mars 2012

12_ IMPATIENCE, NEGLIGENCE ET TUTTI QUANTI blogué :blogué/1/le22 03 12




Il a été écrit :
 « L’impatience a chassé l’homme du Paradis et maintenant la négligence l’empêche d’y retourner. »
    En vérité, l’impatience, source inépuisable de conséquences négatives, devrait être inscrite au mémorial des  « 7 péchés capitaux » pour en être le huitième.
L’impatience, telle une réaction atomique en chaîne, est suivie par un cortège de mésaventures que nous ne lui attribuons pas consciemment malgré leur évidence.
    L’impatience génère automatiquement la négligence en nous faisant agir ou réagir avec une information, une préparation ou une formation incomplète, car anticipée et précipitée ce qui nous handicape dans l’instant.
    Cette précipitation génère à son tour, l’échec, la confusion et l’abandon. On gâche ainsi son temps de vie en voulant « gagner »  du temps. Beaucoup de fruits viables tombent d’un arbre à leur maturité et pas avant ; les cueillir prématurément ne les rend pas immédiatement consommables !
Combien d’âmes errantes rôdent dans notre environnement pour s’être impatientées au « feu rouge », au « STOP » au passage à niveau et ont perdu leur vie pour avoir voulu « gagner ou rattrapper  du temps » ! 
[Pour QUOI faire?]
    L’impatience réveille l’irritation qui à son tour exacerbe notre impatience en déclenchant notre fureur. Sous l’effet de la fureur notre bon sens s‘estompe et notre adrénaline nous pousse au passage à l’acte forcené.
Dans un embouteillage on se soulage en klaxonnant comme un dingue ou en braillant comme un malade.Ce qui nous décrispe sans pour autant nous valoriser ni changer la situation!
    L’impatience remonte peut-être au temps où tardait l’arrivée du sein ou de la tétine qui  nous permettait, enfin, d’assouvir notre faim dévorante et apaiser notre estomac souffreteux. Notre seul moyen de communiquer était alors de brailler comme un sourd en piquant une bonne crise de colère ; mais tout rentrait dans l’ordre après l’allaitement….suivi  (enfin !) du rot libérateur !
IMPATIENCE = « Incapacité d'attendre ou de supporter quelqu'un ou quelque chose » dit le dictionnaire .Il ajoute comme synonyme : « agacement ».
    Le réputé docteur BACH avait d’ailleurs baptisé un de ses élixirs floraux « Impatience », tant il avait compris l’étendue des ravages causés par cet état d’âme, de coeur ou d'esprit.
  En vérité, notre impatience caractérise notre relation avec le temps : l’attente,  la fréquence et les délais dans certaines conditions. 
    Dans certaines conditions dénombrables, puisque nous pouvons pousser des heures de queue pour accéder à l’entrée d’un spectacle choisi ou consacrer une journée à bricoler sur un meuble, ou à démonter et remonter une machine ou encore une chasse d’eau, ou encore une couture, jusqu’à satisfaction (incontournable).
    Nous avons tendance à donner quartier libre et libre  cours à notre impatience dès que nous prenons nos désirs pour des réalités et subissons de ce fait la violente frustration de l’évidente réalité qui nous "désobéit", nous déçoit, nous contredit, nous contrarie en s’opposant à nos vœux, ce qui nous met en colère!
    Comme toute « réaction » émotionnelle notre impatience nous envoie des signes avant-coureurs de sa manifestation et c’est à nous de les reconnaître et de lâcher prise en prenant une profonde respiration pour redevenir conscient et vigilant !""Laisse tomber !" ou "laisse béton" selon votre âge.
Beaucoup de gens mettent la charrue avant les bœufs ou au choix, la diligence devant les chevaux ou encore la charrette devant l’âne en voulant savoir  et/ou faire avant d’apprendre. 
    Ce comportement hâtif, paresseux, impatient et négligent est une perte de temps et une inépuisable source d’échecs et de déceptions car il refuse l’incontournable sacrifice de l'effort personnel soutenu, répété dans la durée.
Un corollaire de l'impatience c'est la procrastination reliée à la thésaurisation stéile.
A savoir : on accumule (documents, infos, formations, cures, outils et matos) SANS jamais PARVENIR à les UTILISER pour changer, s'améliorer ou avancer.
La patience est une VERTU, donc une Force. Une force ça se cultive et se développe. Ce n'est pas nécessairement inné ni acquis, ça ne va pas de soi!
Réflexe d'économie de temps désastreux, qui entraine des erreurs, des gaspillages, du gâchis et des échecs retentissants sans compter le temps ainsi « perdu »!
Apprendre, essayer, s’exercer, s’entrainer, répéter, recommencer pour comprendre et réussir, tout cela demande un temps consacré et réitéré aussi volontairement que consciencieusement.
"Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage !"
"La patience est amère  mais son fruit est doux!"



lundi 19 mars 2012

11_QUELLE PAGAILLE LA-DEDANS !


Sans pour autant être une poubelle,un égout, un rivage jonché de débris
         ou une décharge à ciel ouvert il y a un peu de tout ça dans un subconscient en jachère non « contrôlé  ,non  épuré  et non  rechargé » par notre « conscience vigilante  volontaire» ou notre « vigilance consciente volontaire».
    Lui, notre subconscient, qui travaille en toile de fond et à  bas bruit, s’y retrouve et ne rechigne pas à abattre la besogne qui lui est assignée par sa « base de données », combinées aux consignes de son stock de commandements, aboutissant aux « guidages multiples  autonomes » des squences de notre vécu quotidien  routinier.
Vous me direz que si lui il s’y retrouve et fonctionne à son gré, pourquoi s’en mêler ?
Justement « son gré » n’est pas nécessairement le nôtre _bon gré, mal gré_. N’oublions pas qu’il gère en particulier notre imagination, notre imaginaire, notre imagier de la vie, nos croyances et nos peurs qui vont souvent de pair et par  conséquent,  nos gestes réflexes et nos réactions habituelles!.
    Si nous nous mettons à raisonner pour nous faire entendre « raison », peut lui en chaut car lui ne gère pas la raison et n’y est pas accessible autant que la raison  sans prise sur lui, n’a aucune chance de l’influencer.
Il est logique mais pas raisonnable, tout en étant modifiable et influençable par la répétition volontaire au long terme verbale et gestuelle, au long terme !

Si vous avez peur de la situation, de l’action ou de la relation il fera tout pour vous mettre en sécurité en vous engageant à vous tenir à distance de ce danger potentiel même s’il est pour vous d’une importance vitale. 
Et c’est ainsi que, soulagé malgré tout, vous ratez, un rendez-vous capital, vous mettez fin à un contact fondamental ou vous abandonnez une entreprise fort constructive !
    On peut dire qu’il gère la timidité, le trac, la honte, la gêne, la culpabilité, tous ces petits travers désastreux qui font la fortune des vendeurs de méthodes de développent personnel et que nous accumulons sans obtenir de changement pertinent ni dans notre personne ni dans notre vie.
    Vous n’êtes pas né/e d’hier et ni Paris ni Rome ne se sont construites en un seul jours ni en plusieurs centaines de jours non plus.
    Autrement dit: le principal n’est pas de commencer ni de commencer en s’attendant à s’en sortir en 21 jours. Le plus long voyage commence par un pas, mais tout le monde peut faire un seul pas  ça ne n le mène nulle part ! On dit que l’enfer est pavé de bonnes intentions mais j’ajouterai aussi de bonnes résolutions abandonnées à leur naissance !
    L’échec, c’est ce que nous redoutons, : mais un échec est un fait (avec certaines conséquences blessantes négatives ou exclusives il est vrai).
Mais un échec reste un « fait isolé » ; ce n’est pas une condamnation, ce n’est pas un anathème jeté sur le reste de votre vie, quoique vous ressentiez à ce moment-là!   Dur dur l'éo blessé !
C’est VOUS qui recevez « l’événement–échec » comme un coup de boutoir dans votre vie ou comme un épisode à « traverser » pour continuer sa vie en passant à autre chose, car les opportunités sont nombreuses et variées dès lors que l’on ait lâché prise sur l’échec passé !
    Il n’est pas bon de mettre tous ses œufs dans le même panier , il vaut mieux avoir des paniers variés, afin de pouvoir passer de l'un à l'autre en cas de casse!
T out ceci pour dire qu’il nous reste toujours une « cartouche à tirer ailleurs et autrement ».
Si vous chutez sur un sol glissant , vous n'allez pas vous y incruster .Vous vous déplacerez pour retrouver la stabilité en sécurité.
    L’échec réel , ce n'est pas le fait de ne pas avoir abouti ou réussi; c’est l’abandon,c'est  le laisser tomber, c'est se mésestimer pour  ne pas continuer, ne pas en apprendre et rester dans le flou, l’incertitude et l’ignorance, tous, générateurs et renforçateurs des craintes et des obsessions.
« TOUT VA BIEN ! » est une phrase passe-partout mais une aide puissante dans la détresse quand elle est répétée tranquillement, jusqu’à ce qu’on en soit convaincu et que notre esprit subconscient l’accepte comme une vérité et le mette en œuvre !Cela remet de l’ordre dans la pagaille !
En fait! la pagaille (émotionnelle, mentale et physique) c'et une tempête dans un verre d'eau! Une fois le verre vidé, tout est réparé et prêt à fonctionner!
Bonne route!



jeudi 15 mars 2012

10_TRAVAILLEUR SILENCIEUX,PERMANENT , INFATIGUABLE

Vous avez un travailleur inaltérable EN PERMANECE à votre disposition qui enregistre tout ce que vous percevez, tout ce que vous ressentez, tout ce que vous faites et surtout tout ce que vous dites.
Il s’agit de votre bonhomme de subconscient qui n’est ni fidèle ni loyal mais IMPLACABLE et DÉTERMINÉ dans son fonctionnement !
Il est implacable car il est un peu comme une machine : il ne connaît ni la plaisanterie, ni la simulation, ni le mensonge, ni le bien ni le mal : son truc à lui c’est la VÉRITÉ.
Et c’est là que se situe le nœud et que se pose le problème !
Pour lui,  TOUT est vérité ! Particulièrement TOUT CE VOUS DITES ou tout ce que l’on vous dit et que vous acceptez et ressentez comme parole de vérité.
    Chaque information est ainsi reçue sans jugement et intégrée à un organe , une fonction, un fluide ou un système de notre corps physique créant instantanément des associations d’idées-émotions-convictions-réactions qui nous « aident » à percevoir la vie de façon spécifique, afin de choisir-décider et agir à notre guise. 
Agir à notre guise étant ce que nous « croyons » faire !
    En réalité notre subconscient riche des milliards de perceptions, de sensations , de paroles, d’actions et d’expériences enregistrées et intégrées depuis au moins notre naissance, manipule la barre de notre navire à coup d’impulsions irrésistibles correspondant à nos pensées dominantes habituelles travaillant continuellement en toile de fond.
    Ces pensées dominantes peuvent se répartir en deux tendances diamétralement opposées comme le chaud ou le froid, le haut ou le bas , le bien ou le mal, la bienveillance ou la malveillance, l’amour ou la haine la colère ou la sérénité, la jalousie ou la gratitude, la santé ou la maladie, l’abondance ou la restriction etc…etc…
    LUI, notre subconscient ne choisit pas ! C’est un exécutant servile ! En tant qu’exécutant servile dénué de compréhension mais pas de puissance ni de pouvoir, il nous SUIT pas à pas, à tout instant, en tout lieu et en toute circonstance! Ce qui nous rend TOTALEMENT RESPONSABLE de l’état de notre vie…
    Si notre tendance générale de pensées (comme de ressenti) est négative, elle se manifeste par le ressassement de sempiternelles paroles dévastatrices :.plaintes,
récriminations, critiques destructives, jugements ravageurs. 
Nous passons ainsi nos journées à semer des paroles venimeuses de plaintes, de critiques, de récriminations, de jérémiades, de médisances ou de calomnies et tout et autre !
"Qui sème le vent récolte la tempête"  est-il écrit!
    Cela emmagasine autant de venin que notre subconscient, fidèle à notre ligne de conduite, va instiller dans notre vécu, en s’attaquant à tout ce qui serait « bon pour nous » mais sur lequel nous avons jeté l’anathème qui l’exclut de note vie quotidienne
A bon entendeur salut : votre subconscient vous rend la nourriture avec laquelle vous le gavez chaque jour que Dieu fait !     
Filtrez ! 
    Soyez conscient de vos ressentis émotionnels pernicieux : honte, gêne, malaise, insécurité, infériorité, culpabilité, dépendance, soumission,  irritation, agacement...
    Sachant que vos "ressentis" étant strictement personnels, nul ne peut vous contraindre, vous forcer ou vous amener malicieusement à les mettre  en mots pour les formuler, les exprimer,les communiquer et les semer en fin de compte pour propager du négatif qui vous reviendra à coup, sur tôt ou tard !


9_ NE FAIS PAS À AUTRUI …..

Ce que tu ne veux pas ou n’aurais pas voulu que l’on te fasse !
Ok ! D’ACCORD ! Oui, mais…
    A aucun moment, même s’il a été dit de « tendre la joue gauche », autrui n’est ni autorisé ni habilité à te faire à toi ce qu’il ne voudrait pas qu’on lui fasse à lui….ni en parole, ni en action. Il n’est question nulle part de se laisser faire sans broncher.
Première chose : « Qui ne dit mot consent. »
Donc il faut DIRE ! Dire pour informer autrui que nous ne sommes pas consentants et que nous constatons et condamnons son comportement, son langage ou sa conduite envers nous, en le lui décrivant avec les conséquences négatives qui en découlent pour nous. 
    Dire la parole de vérité qui démontre ce qui est, suffit à faire prendre conscience de la situation et amener un changement.

    _ Dire, en privé, puis devant témoin et même en public « les faits », a pour objectif « d’appeler un chat un chat » ou « d’appeler un chien un chien ».
_ « Je n’aime pas trop ça….ce que vous me dites, ce que vous me faites ou ce que vous m’avez dit ou fait ». Autrui est « informé ».
    _Je ne suis pas d’accord avec vous sur ce coup- là.
    -Je n’approuve pas du tout votre comportement dans de pareilles circonstances.
    Chacun a son libre arbitre, sa conscience et son sens moral auxquels il n’est pas vain de faire appel à l’occasion.
    Ainsi, une personne avertie en vaut deux et la persévérance dans la nuisance de votre entourage, n’est pas un signe de niveau de conscience élevé ni de profonde compréhension, ni l'expression de la moidre compassion.
    C’est nettement plus constructif que de se mettre à hurler, à s’injurier, en venir aux mains, à la haine irréversible et à la magie noire qui en découle spontanément. *
    La magie noire consistant ici,  à poser et à maintenir posées des pensées, des idées de rage, des désirs furieux de vengeance tout en répandant des fleuves de calomnies contre une personne, un groupe,une religion ou un parti politique...
     Donc pour rester dans l'équilibre fragile de la paix, l'harmonie et la convivialité du vivre ensemble sans être d'accord sur tout, n'offensez pas autrui mais ne laissez pas autrui vous offenser non plus sans réagir avec calme et fermeté.*
    Reconnaître ses torts quand on a tort ou quand on est en tort, sans se rabaisser, est la meilleure huile des rouages de la société!

jeudi 8 mars 2012

8_...COMME JE VOUS AI AIMES …



 « Aimez-vous les uns les autres » _ COMME je vous ai aimés !
Voilà un éclairage qui rend encore plus pointu : « Aime ton prochain comme toi-même ! »…et que se passera-t-il alors si cela se produit un jour?

Eh bien mon frère, ma sœur, ce sera  ça « le Royaume de Dieu sur terre ». Vous comprenez maintenant pourquoi il tarde tant et tant à venir depuis plus de 21 siècles !
D’abord le plus simple : aimer. Aimer c’est en gros vouloir et faire le meilleur pour…
    S’aimer soi-même, c’est donc faire et vouloir le meilleur pour soi-même !
_ Le faisons-nous, malgré les trésors d’égoïsme que nous déployons chaque jour ?
_ Voulons-nous et faisons-nous le meilleur par nous-mêmes, pour nous-mêmes, à chaque instant, en toute circonstance et dans tous les domaines de notre vie ? 
A vérifier…Sachant  que nous sommes la personne la plus proche de nous-même dont nous sommes indissociable!
    Dans ce cas, aimons-nous notre prochain ? Voulons-nous, disons-nous et faisons- nous le meilleur pour lui, l’autre, notre semblable, notre prochain, notre parent, notre voisin, notre collègue, notre conjoint, notre enfant, notre ami, cet étranger, cet inconnu, ce familier ???
    Vous noterez au passage que dans notre prochain, nos « familiers » ou nos proches, sont souvent nos exutoires et nos souffre-douleurs pour les miettes éparses de compassion, d’attention active, d’intérêt positif, de reconnaissance spontanée, de gratitude et d’amour dont nous les gratifions chaque jour.
_ Aimer ce n’est pas flatter : ceci limite notre panel de communication conviviale.
_ Aimer ce n’est pas mentir : ce qui restreint notablement nos sujets de conversation.
_ Aimer ce n’est ni dénigrer l’un pour plaire à l’autre, ni écouter ou encourager le dénigrement de l’un par l’autre : là, cela nous contraint à rester bouche cousue et oreilles bouchées. Ce qui vous l’admettez rend toute communication verbale quasiment impossible.
__ Aimer c’est dire  avec respect, courage, audace, détermination et persévérance « des paroles de vérité » qui ne vous font pas que des amis parmi des gens qui n’en étaient déjà que des faux ! 
Pourquoi ?
Par ce que « la parole de vérité » peut offenser, peut heurter, peut contrarier peut, voire même, blesser (dans la sensibilité de leur amour-propre, de leur égo massif ou de leur naïveté bornée) ceux, tous ceux, qui ne regardent pas la réalité en face et ne sont pas sincères avec eux-mêmes !
    Ils se regardent et regardent la vie et leur prochain au travers du filtre de leurs pensées et émotions négatives, de leurs peurs, de leurs craintes de leur conviction erronée de l’existence du mal en dehors d’eux-mêmes et à l’extérieur d’eux-mêmes !
Pourquoi feraient-ils l’effort de se taire au lieu de critiquer, geindre, se plaindre et déblatérer?
Pourquoi feraient-ils l’effort de se remettre en question pour remonter jusqu’à eux-mêmes dans tous leurs malheurs, leurs déceptions et leurs problèmes ?
Qu’ont-ils FAIT ?
_ Ont-ils donné un peu de leur présence active, de leur temps d’écoute constructive, hormis le temps gaspillé à, dénigrer, ou écouter dénigrer ou aider à leur prochain, à se plaindre, se justifier et récriminer ?
_ Ont-ils donné un sourire qui ne s’arrêtait pas à montrer ses dents et qui envoyait au destinataire, bienveillance, paix et courage ?
_ En vérité pourquoi feraient-ils le moindre effort pour changer de comportement, de croyance et de communication ? Ils ne se sentent pas en cause dans les malheurs du monde, de leur monde, de leur vie !
Le royaume de Dieu a encore du souci à se faire  sur Terre, même si la patience de Dieu est inlassable et infinie, il ne sera certainement pas de notre monde ces jours-ci ! Donc, cultivons-le en nous-mêmes !


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lundi 5 mars 2012

7_AFFIRMATIONS, DECLARATIONS, REALITE ET VERITES







Beaucoup d’affirmations se font chaque jour en dépit du bon sens et au détriment de la réalité !
    Ecrites dans la presse ou orales sur les médias, affirmations sans preuves déclarations fallacieuses ou citations tronquées, fleurissent et se répandent sans vergogne pour endormir une population déjà en catalepsie psychique et mentale. qui s'empresse, à son tour de propager fièrement  le poison de bouche à oreille!
En réalité chacun a SA vérité qui n’est pas forcément celle de ses amis, voire celle de ses ennemis ou adversaires. 
 Chacun étant censé être sincère avec lui-même sinon avec les autres, l’imbroglio devient indémellable.
    On se forme une « opinion » d’après son »jugement » pour « postuler » SA vérité en fonction du ressenti de son vécu, sinon selon des avis adoptés ou imposés ! ( à relire lentement )
Affirmations, déclarations, et autres arguments ostentatoires sont souvent des « outils » de manipulation politico-commerciale ; la politique consistant en un mot, à défendre les « intérêts » matériels, financiers et sociaux de ses partisans sous couvert de vouloir le bien de tous, tout en convoitant les biens de chacun !
Les affirmations doctes et gratuites sans fondement ni références sont la végétation qui pousse dans le terreau médiatique hypnotqiue quotidien  des JT (journaux d'informations télmévisés).
Un mensonge (ou une contrevérité) repris et répété à longueur d'émissions, finit par être "enregisté" et classé dans notre esprit comme un "fait" sans discussion!
En fait, la vérité et la réalité n’ont besoin de personne pour se manifester et n’ont nul besoin d’être interprétées par des exégètes autoproclamés !
La parole de vérité se suffit à elle-même et est aussi tranchante qu’un rasoir dans les esprits pervertis qui comme le miel onctueux, n'en gardent aucune trace !
    Le dressage sociétale consistant à ingurgiter sa "dose quotidienne " d'informations (négatives) uniformes permet à tout un chacun d' être au jus ou au courant afin d'aider à la propagation du malaise commun préfabriqué.
A Rome on donnait au peuple du pain et des jeux pour l'occuper; nous on nous donne les JT, le Foot, le Loto et les ragots !
Ceci dit, personne ne nous "oblige" mais il nous faut hurler avec les loups, même si:"l'homme est un loup pour l'homme!




jeudi 16 février 2012

5_COMPREHENSION MENTALE OU INTELLECTUELLE, EMOTIONNELLE ou SPIRITUELLE ???


« J’ai compris !»_ Oui d’accord mais à quel niveau ?
_dans  ta tête et ton intellect ?
_dans ton cœur et tes tripes ?
_ou dans ton esprit et ton essence ?
_Ou bien réussis-tu à combiner plusieurs niveaux de compréhension ?
    Cela a-t-il une importance quelconque ?
Non, pour le commun des mortels, riches ou pauvres, savants ou ignorants, religieux , athées ou mécréants.
    Oui, pour la personne en recherche spirituelle sur le chemin étroit du libre arbitre.
 La tête est limitée et conditionnée, le cœur est farouche et tumultueux, tandis que l’esprit est pérenne et immuable. 
    Lequel est le plus fiable d’après vous ? Peuvent-ils se passer les uns des autres ? Notre compréhension est-elle efficace, complète et intégrée si nous omettons un de ses niveaux ?
    Au jour le jour cette discrimination peut sembler oiseuse et puérile, superficielle et anodine, mais il y a dans chaque vie des instants décisifs où il et  capital de situer sa compréhension de l’événement vécu ou observé afin d’en tirer des conclusions permettant des choix et des décisions constructifs.
_« N’écoutant que son courage il passa à l’acte afin de… »
_« Son esprit s’éclaira et il sut exactement ce qu’il fallait faire pour… »
_ »A force de se creuser les méninges il finit par trouver le chainon manquant et solutionna l’énigme du… »
    Quel que soit notre niveau de compréhension, il aboutit à une action spontanée ou murement réfléchie mais toujours efficace à nos yeux.
    On pourrait ajouter , pour corser l'affaire, que notre compréhension est fonction de nos différentes expériences successives vécues à des âges successifs et qui au fil de notre temps de vie ont changé,  enrichi ou appauvri notre compréhension à tous les niveaux pour nous apporter un brin de sagesse...

mercredi 15 février 2012

6_MOTIVATION, DETERMINATION, SATISFACTION

LE TRIO DE L’ACTION  SPONTANEE  qui d’habitude nous aide à gérer notre vie sans stress oiseux et inutile, ni tergiversation ni procrastination, ni hésitation, ni doute, ni introspection, ni  scrupules, ni   timidité et j’en passe…
Comment se fait-il qu’étant libres et autonomes il nous arrive de faire des choix et de prendre des décisions qui n’aboutissent pas à « l’action personnelle » dont dépend la satisfaction de nos désirs quotidiens ou occasionnels ?
 Comment se fait-il qu’à certains moments, nos efforts personnels et nos actions personnelles soient littéralement bloqués, figés paralysés, interdits, inopérants, carrément HS, et que ce faisant nos désirs s’étiolent, se fanent, se flétrissent et s’’éteignent sous le boisseau ?
Qu’est-ce qui est remis en cause ?
_est-ce notre motivation ?
_est-ce notre détermination ?
_ou est-ce notre satisfaction ?
    Va savoir: dans notre imbroglio émotionnel, affectif, mental  et psychique tout se mêle, s’associe, s’entremêle et s’enchevêtre depuis bien avant notre naissance.
    Mais heureusement nous avons tous un fil conducteur. Dans la dualité de  ce monde  mentalisé, « binarisé » tout va par pair, chaque chose ayant son opposé ou son contraire.
Et justement comme les deux faces d’une même médaille à chacun de nos « désirs » correspond une peur spécifique personnelle bien à nous (innée ou acquise) !
Comme le veut la loi de la nature « c’est toujours le plus fort qui gagne ! »
    Peur, honte, gêne, mauvaise conscience, sentiment de culpabilité, de démérite ou d’infériorité « émergent » brutalement dans le ciel bleu de nos désirs, comme de méchants nuages  obscurs, comme des « morts toujours vivants » qui occultent l’espérance de notre satisfaction et rendent celle-ci caduque et sans intérêt pour nous dans l'instant :c’est la DÉMOTIVATION SPONTANÉE dévastatrice !
    Ces empêcheurs de tourner en rond ne viennent pas du futur et non plus du présent ; donc ils surgissent du passé enregistré et intégré dans nos associations d’idées-émotions ! Ils squattent notre bon sens et notre libre-arbitre,  nous rendent confus et incohérents en nous poussant à fuir la situation dans le moment présent sans autre alternative !
Ils nous mettent en panique!
    Quelle puissance démontrent-ils et  quelle profondeur a leur emprise sur nous , ces éléments immatériels de nous-mêmes !
Prendre conscience de leur existence et de leur effet sur  nous en admettant leur emprise sur notre personne et leur pouvoir destructeur sur notre vie,² nous autorise à anticiper, prévoir et déjouer leurs manifestations et leurs interférences programmées par nos propres pensées…
Les échecs n'effacent pas nos efforts et aucun effort n'est jamais perdu
.La persévérence et la détermination nous permettent de cumuler et renforcer nos efforts quotidien: en consolidant chaque jour l'effort d'hier par celui d'aujourd'hu,i qui sera lui même validé par celui de demain!


jeudi 9 février 2012

4_EDUCATION, CONDITIONNEMENT, SOCIALISATION


       _ Nous avons tous été éduqués, formés, conditionnés et sociabilisés pour devenir des  personnes  correctes sinon respectables. 
A coup de "non", de "oui", d’interdictions , d’obligations, de tabous, de confidences, de secrets, de dits et de non-dits, de contraintes et de laisser-faire, de critiques et de menaces, d’engueulades et de câlins plus ou moins pertinents, nécessaires ou justifiés qui ont fait de nous ce que nous sommes devenus !
     Heureusement tout n’est pas perdu car notre libre arbitre s’il n’a pas été développé, encouragé et entretenu a encore le mérite d’exister tous âges confondus.
       Dans notre libre arbitre il y a l’option liberté de penser, de croire (par soi-même) ou non.
 Penser c’est aussi choisir et décider entreprendre et agir…par soi- même, pour soi- même mais aussi avec et/ou contre d’autres personnes.
    Oui, CONTRE ! car sans avoir réellement d’ennemis dans notre vie nous avons incontournablement tous, des adversaires, des concurrents, des contradicteurs et des opposants qu’il vaut mieux anticiper qu’ignorer, d’une part.
   D’autre part LA RESISTANCE est une loi de la vie qui nous contraint à l’EFFORT PERSONNEL irremplaçable, car personne ne peut l’accomplir à notre place. 
    Rien que pour nous maintenir en vie nous dépensons quotidiennement de l’énergie personnelle pour  simplement repirer ou nous alimenter.
La résistance est aussi nécessaire et incontournable  que l’effort et la circulation des énergies en nous et autour de nous.
     Convaincre seulement  une personne de nous accorder ce que nous attendons de lui ou d’elle ne se fait pas sans efforts rencontre, de contact, d’échange, de suivi de relation,  d’argumentation, de moult paroles et grimaces sociales.                                
La résistance a pour corolaire la persévérance dans l’effort entrepris et la détermination devant les échecs inhérents à notre entreprise. 
    C'est parce que le sol nous ésiste que nous pouvons nous tenir debout, marcher, courir, sauter et danser!
Il faut admettre que nous entreprenons nos affaires avec un modèle qui est un ESSAI ! Si cet   « essai » venait à échouer, cela devrait nous amener à recommencer  notre démarche en modifiant les éléments de notre modèle qui font défaut ou à utiliser un modèle nouveau ou différent pour atteindre nos objectifs !
Même Mère Nature fait des essais et a des ratés dans ses productions : un même arbre ne porte jamais que des fruits tous sains et parfaits, les ratés font partie du nombre à chaque saison !
Soyons créaifs et remettons nous au boulot! 

lundi 6 février 2012

3 _SAVOIR, VOULOIR, POUVOIR



Nord Ouest Montagne
L’INSATISFACTION  nous pousse à l’action et c’est une excellente chose pour obtenir des changements dans notre vie.
     Avoir une idée CLAIRE   précise inforée et documentée, des moyens à mettre en œuvre pour obtenir les changements que nous désirons, nous évitera de nous précipiter tête baissée dans des initiatives, des actions ou des entreprises séduisantes mais irréfléchies qui apporteront alors peut-être, dans notre vie des changements « non désirés » irréparables et irréversibles, regrettables !
En tout cas une perte e temps et d'énergie et/ou d'argent!
     Savoir clairement qui et ce que nous voulons être ou devenir ou rester nous centre au cœur de notre identité avec les modèles que nous choisissons en toute conscience et en toute liberté dans chaque domaine de notre vie privée, publique, professionnelle ou sociétale, intime ou familiale.
    Savoir clairement ce que nous voulons faire de l’argent que nous gagnons, possédons ou plaçons nous centre au cœur de l’abondance dans laquelle nous choisissons de vivre en réalisant des acquisitions qui nous conviennent,  nous satisfont et nous confortent dans notre bien-être au quotidien.
    Savoir clairement ce que nous voulons savoir faire ,quelles compétences ou capacités  nous voulons acquérir ( tout a un prix et donc un coût) dans les domaines concernés de notre vie ; artistique, sportive, sociale, citoyenne, professionnelle et dans nos loisirs quotidiens, hebdomadaires ou pour nos vacances annuelles, nous centre au cœur de nos activités constructives quotidiennes en nous apportant la satisfactions des changements et des résultats obtenus.
        Par contre, être confus, indécis ou imprécis à chaque instant de notre vie, vis-à-vis de ce que nous voulons être, avoir ou faire, est une souffrance pénible et nous maintient là où nous sommes, tels que nous y sommes, dans la déception, la dépendance et le désespoir d’une vie murée dans l’inconsistance et la monotonie dévalorisante!
     Tout peut changer en y mettant du sien à faire ce qui nous intéresse vraiment au lieu de subir des engagements pour lesquelles nous ne nous sentons pas concernés mais avec lesquels nous traçons notre chemin de vie !
    Personne n'est responsable de ce que nous faisons de notre vie, même le Karma si souvent invoqué et qui est, en vérité, plus une conséquence de nos choix qu'une cause de nos résultats!
Prenons  donc soin de notre vie pour vivre le milleur pour nous-mêmes.
l'ami Kristoval*

samedi 4 février 2012

2_DE L’IDEE AU PASSAGE A L’ACTE : conclusions?

Intention, Projet précis et limité, Programmation, Préparation matérielle, organisation, Mise en œuvre, Achèvement, Nettoyage de l’environnement !

ETRE, FAIRE, AVOIR
Il faut reconnaître que nous sommes ce que nous sommes, nous avons ce que nous avons, et nous faisons ce que nous faisons, ceci, seul en famille ou au travail.
Voilà , mais sommes nous satisfaits de ce que nous sommes , de ce que  nous étions par rapport à ce que  nous sommes devenus….
Sommes nous satisfaits de ce que nous avons en propre personnellement ? de ce que Nous avions par rapport à ce que nous avons acquis…
Sommes nous satisfaits de ce que nous faisons ? _nous faisions par rapport à ce que nous avons appris à faire…
Tout simplement, sommes nous satisfaits de notre vie quotidienne, passée, présente et à venir, à court, moyen, ou long terme ?
Sommes nous satisfaits de :
_ Notre savoir « être », ce que nous sommes réellement ?
_ Notre « capital »  matériel et financier, ce que nous possédons en réalité ?
_ Notre savoir  « savoir-faire », de nos connaissances, de nos compétences et capacités effectives, dans nos activités, professionnelles sociales, artistiques, sportives ou citoyennes ?

En vérité, sincèrement, avons-nous progressé, nous sommes nous améliorés ou 
avons-nous simplement avancé dans l’espace-temps sans plus, hormis les effets de l'usure du temps ? 

Tout change tout le temps autour de nous, mais nous, pouvons nous changer notre égrégore personnel , avec tout ce que nous avons fait, tout ce que nous avons subi, raté ou réussi au fil du temps?
    
On peut se poser la question, pour passer le temps, car  notre vie est une kyrielle de moments présents fades ou intenses , positifs ou négatifs, qui n'appartiennent qu'au cimetière des moments passés de notre mémoire, tellement sélective!  

    Il faut bien philosopher un tantinet, les bovins prennent  bien le temps de ruminer chaque jour,
eux !          

L'ami Kristoval*                                                                                                      

mercredi 1 février 2012

Les RECOLTES de NOTRE VIE


tout ce que l'on sème pousse


    L’un a dit : « Semez le vent et vous récolterez la tempête »

    Un autre a dit : « Vous récoltez maintenant ce que vous avez semé  jadis»

    Un autre encore a dit : « Semez la haine et vous récolterez à long terme  la guerre. »

    Le bien et le mal sont des récoltes : quand l‘une périclite l’autre foisonne en vous et autour de vous.

    Chacun naît avec un capital mixte composite, un capital de mal et un capital de bien, généralement inégaux.
    La balance penche dès la naissance en vertu de ce que nous pourrons qualifier du  karma ou du destin de chaque individu.                 Famille, ancêtres, milieu social, pays, région, ville  quartier et adresse, profession des parents , éducation, religion, expériences relationnelles, amicales, sexuelles, tout cela et bien d’autres choses dans la vie de chacun déterminent son karma, sa charge et sa mission terrestre.
    L’équilibre ou le déséquilibre n’est pas immuable et la balance oscille dans un sens ou dans l’autre à chaque occasion de nos choix et de nos décisions bonnes ou mauvaises .

Que pouvons -nous semer ?

En nous : des pensées, des croyances, des convictions, des certitudes, l’estime de soi, la confiance en soi, la sérénité tout comme le respect de soi et de tout un chacun ; choses qui irradieront de notre personne sur notre environnement vibratoire et relationnel.

Autour de nous : des paroles positives, bienfaisante et constructives, la manifestation du respect, de la confiance et de la stabilité, l’écoute active (et non passive _ style je suis la poubelle où vous pouvez déverser vos paroles oiseuses _), la compassion, la charité (fais lui ce que tu voudrais qu’on te fasse), l’ordre et la propreté, la vérité et la droiture même si on ne dit pas tout à tout le monde.
   
 Fortuitement, « aider quelqu’un » ce n’est ni penser à sa place, ni parler à sa place, ni agir à sa place, ni le soumettre à nos préférences ou le contraindre à changer. On peut l’éclairer sur les réalités de la vie, lui apporter des moyens, des méthodes , des techniques et des façons de faire après avoir obtenu son accord, sa demande, son adhésion ou son approbation lucide.
Il n’est pas bon pour nous non plus de vouloir à toute force aider autrui car cela démontre une immaturité bien ancrée et un besoin d’aide bien masqué. Il vaut mieux « répondre » activement et constructivement à une « demande d’aide clairement formulée ou déguisée en cynisme » afin d’être sur de faire œuvre utile sans devenir indiscret, pesant ou incongru inopportun en tout cas.
Rappelez vous que « celui ou celle qui ne demande rien » ne VOUS demande rien non plus ! Evitez donc que l’on ne vous adresse la petite phrase qui tue : « Je ne vous ai RIEN demandé ! »
En fait : AIDER c’est DONNER ; donner tout simplement, spontanément, un p’tit coup de main, un peu de son temps ,un gentil    sourire, (c'est pas trop cher!),  un peu d’écoute, d’attention, de respect à un autre ou une autre à un  inconnu ou un familier peu importe.
Dès que l’on veut en faire trop, se rendre indispensable, incontournable, la balle du besoin d’aide est dans notre camp.
    Comme le plaide Confucius : « Si en passant près d’une rivière tu vois un homme qui se noie mais n’appelle pas au secours, passe sereinement ton chemin ». 
Autrement dit tu n’as rien à faire pour lui, il ne t’a rien demandé ! Je sais  ça paraît dur, mais la vie réelle n'est pas tendre! 

C’est un peu comme le truc de la canne à pêche. Si ton voisin ne sait pas pêcher et que tu lui apportes du poisson chaque fois que toi, tu vas à la pêche tu l’infantilises et le rend dépendant de toi en lui donnant des droits sur toi ! 
Par contre si tu lui offres une canne à pêche ou si tu lui apprends à pêcher tu en fais ton égal et un homme libre dont tu n’es plus responsable !
Rendre service est un fait occasionnel et somme toute convivial et normal pour « dépanner » un tiers. Cela n’a rien à voir avec le fait de se croire obligé de s’infliger un dérangement, une corvée  ,une perte de temps ou de la fatigue inutile ,à contrecœur pour « dépanner- jour-après-jour » un ami, un parent ou un quidam quelconque au détriment de notre satisfaction quotidienne.
La satisfaction est un critère intéressant dans nos choix de vie ! Une action, un choix, une intervention ou une prise de parole a pour effet et but de nous apporter de la satisfaction. Dans le cas contraire, nous sommes frustrés, déçus et contrariés si nous sommes sincères avec nous-mêmes !
Que devons- nous semer pour récolter de la satisfaction ?
 A noter que la satisfaction se partage spontanément avec ceux qui y participent avec nous.
La sincérité (avec soi-même), la rigueur en toute chose, la détermination et la persévérance couplées à la résistance et à la pugnacité pour mener à bien nos projets et faire aboutir nos entreprises à court , moyen, ou long terme sont des  germes de satisfactions quotidiennes.
Chacune de nos journées passées devrait nous permettre de faire la somme d’un certain nombre de motifs de satisfactions du travail bien accompli et de la mission bien remplie que nous nous somme fixés !

l'ami Kristoval*